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Gauche et droite ont entamé des tractations complexes pour tenter d'échapper à un nouveau blocage.
La droite a obtenu le plus grand nombre de sièges, mais les socialistes pourraient se maintenir au pouvoir.
Plusieurs organisations critiquent l'aspect non démocratique de ces dernières élections.
Le mystère plane sur une possible entrée de l’extrême droite au pouvoir en cas de défaites des socialistes.
Ce soir, les électeurs de la circonscription de Uxbridge and South Ruislip lui choisiront un successeur.
La décision du président Sall décrispe le climat politique du pays, qui était devenu explosif.
Le pays est en proie à la corruption, à la misère et à la violence des bandes criminelles.
Claudia Sheinbaum, mairesse de Mexico, a annoncé qu'elle quitte ses fonctions pour se consacrer à la campagne.
Ce résultat devrait assurer à la droite 158 sièges sur les 300 du Parlement grec, selon des analystes.
Entouré de toutes ces attentions, le président turc doit se sentir bien rempli de son importance.
Le scrutin du 21 mai n'a pas permis au parti de Kyriakos Mitsotakis d'obtenir la majorité absolue.
Le président sortant a obtenu 52,14 % des voix contre 47,86 % pour Kemal Kiliçdaroglu au second tour.
Le président sortant s'est rendu sur la tombe d’un nationaliste islamiste pendu par l'armée en 1961.
Il rate de peu la majorité absolue : il lui manque cinq sièges pour pouvoir former un gouvernement seul.
Le parti du président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, au pouvoir depuis 2019, a remporté 80 sièges.
Les électeurs turcs devront choisir entre Recep Tayyip Erdogan et Kemal Kiliçdaroglu, le 28 mai prochain.
Le score plus important qu'anticipé est insuffisant pour qu’Erdogan l'emporte dès le premier tour.
Après le dépouillement des bulletins dans 97 % des bureaux de vote, Move Forward arrive en première position.
Les élections législatives offrent une rare occasion aux Thaïlandais d’exprimer leur mécontentement.
Longtemps en avance, le président sortant est maintenant tombé sous la barre des 50 % de voix.