Épisode du dimanche 27 février 2022

Les cerfs de Virginie porteurs du virus SRAS-CoV-2, responsable de la Covid-19, soulèvent des inquiétudes quant à la possibilité que cette population d’animaux sauvages puisse devenir un réservoir pour le coronavirus.

Des chercheurs de Rimouski étudient le bruit causé par le trafic maritime dans le chenal Laurentien. Ils veulent identifier avec plus de précision les sources de bruit à bord des navires pour, à terme, réduire l’impact de cette pollution sonore sur la vie marine.

Bien que les virus empoisonnent nos vies, on ne leur connaissait jusqu’à maintenant aucun prédateur dans le monde vivant. Toutefois, une équipe de chercheurs en biologie marine vient de découvrir que des micro-organismes marins peuvent consommer des virus comme principale source d’alimentation. Les chercheurs ont analysé des échantillons d’organismes unicellulaires marins appelés des protistes. En disséquant des milliers de protistes recueillis dans le Golfe du Maine et dans la Mer Méditerranée, les chercheurs ont trouvé des échantillons de virus de toutes sortes dans ces corps unicellulaires, suggérant que ces protistes s’en sont nourris.

Il y a 214 millions d'années, une météorite a percuté la Terre de plein fouet. La trace laissée par l'impact est aujourd'hui un site unique, surnommé « l'œil du Québec », au cœur de la Manicouagan. Dans le cadre du projet Manicouagan, un groupe pluridisciplinaire part explorer la région et y récolter une multitude de données environnementales. Les données, destinées aux scientifiques et artistes, visent à mieux comprendre les particularités de l'écosystème de l'œil du Québec et à mettre celui-ci en valeur.