Édition du 27 novembre 2019

Joanne Beausoleil, cheffe de la SQ
Pour la première fois de son histoire, la Sûreté du Québec sera dirigée par une femme.
Johanne Beausoleil, une civile, agira à titre de directrice générale par intérim.
Elle arrive à la tête d'une institution fragilisée par la controverse.
À quels défis fait-elle face? Peut-elle redresser la barque?

• L'analyse de Sébastien Bovet, chef de bureau parlementaire à Québec,

Les défis de la nouvelle cheffe
Le choix de la ministre de la Sécurité publique Geneviève Guilbault est-il bien reçu par les employés de la SQ?

• Pierre Veilleux, président de l'Association des policières et policiers provinciaux du Québec

Groupe Capitales Médias : Desjardins doit-il investir ?
Après avoir annoncé la semaine dernière ne pas être prêt à participer au plan de sauvetage du Groupe Capitales Médias, le Mouvement Desjardins reconsidère maintenant sa décision. La direction de Desjardins semble ainsi avoir pris en compte l'appel en ce sens du ministre de l'Économie et de l'Innovation Pierre Fitzgibbon. Mais qu'est-ce qui explique la réticence de cette grande coopérative d'aider à l'établissement d'une autre coopérative de médias régionaux ?

• Entrevue avec Francis Vailles, chroniqueur à « La Presse »

Assassinées parce qu'elles étaient femmes
Il y aura fallu 30 ans pour qu'on parle de l'attentat de l'école Polytechnique qui a coûté la vie à 14 jeunes femmes comme d'un attentat « antiféministe ». Radio-Canada présentera la semaine prochaine le documentaire « Polytechnique, ce qu'il reste du 6 décembre ». Un livre aussi sera aussi publié pour rendre hommage aux 14 victimes : « Ce jour-là, parce qu'elles étaient des femmes », écrit par la journaliste Josée Boileau.
Catherine Bergeron, qui a perdu sa soeur Geneviève dans cet attentat, en a rédigé le préface.

• Catherine Bergeron, présidente du comité Mémoire et sœur de Geneviève, l'une des 14 victimes de l'école Polytechnique