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Édition du 30 octobre 2017

Édition du 30 octobre 2017

Guy Ouellette accuse l’UPAC de le museler

Dans une entrevue accordée vendredi dernier au 98,5 FM, le député de Chomedey Guy Ouellette soutient que l'Unité permanente anticorruption (UPAC) a cherché à le « museler » en l'arrêtant la semaine dernière, dans le cadre d'une enquête sur de possibles infractions d'abus de confiance et d'entrave à la justice.

  • Le fil de la journée avec Sébastien Bovet, chef de bureau à Québec

L’Assemblée nationale se questionne

Dans cette charge contre l'UPAC, M. Ouellette soutient que le corps policier cherche à empêcher les parlementaires de faire leur travail, notamment en bâclant « à toute vapeur » l'adoption du projet de loi 107 qui lui donnerait plus de pouvoirs. M. Ouellette croit que l'UPAC devrait être soumise à une plus grande reddition de comptes. Son message a été entendu car en après-midi le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, qui défend le projet de loi 107, annonçait son intention d'amender la pièce législative dans le sens des revendications du député de Chomedey. Est-ce suffisant?

Entrevue avec :

  • Pascal Bérubé du Parti québécois,
  • Amir Khadir de Québec Solidaire
  • André Spénard de la Coalition avenir Québec

L’UPAC en mène-t-elle trop large?

De nombreuses personnes se questionnent sur le rôle de l’Unité permanente anticorruption et sur l’indépendance de l’institution. Qu’en est-il?

Entrevue avec :

  • Martine Valois, spécialiste des commissions d'enquête et professeure agrégée, à la Faculté de droit de l'Université de Montréal
  • André Noël, journaliste d'enquête et ex-enquêteur à la commission Charbonneau
  • Jean-Pierre Charbonneau, ex-président de l’Assemblée nationale

Coup de tonnerre à Washington

Coup de tonnerre à Washington. Deux anciens proches conseillers de Donald Trump, Paul Manafort et Rick Gates, ont été arrêtés et font face à 12 chefs d'accusation, dont complot contre les États-Unis, blanchiment d'argent et avoir omis de déclarer des comptes bancaires à l'étranger. Ils ont plaidé non coupable. L'avocat de Manafort juge certaines de ces accusations ridicules. Tout cela c'est dans le cadre de la grande enquête du procureur Robert Mueller qui doit faire la lumière sur de possibles liens de collusion entre la campagne électorale américaine et la Russie.

  • Entrevue avec Charles-Philippe David, président de l'Observatoire sur les États-Unis à l'UQAM

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