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MAISONNEUVE EN DIRECT
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Montréal (Québec)
H2L 2M2
Courrier électronique :
endirect@radio-canada.ca
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Nos enfants, les «quêteux» de l'école? |
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L'école des Rapides-de-Lachine, à Montréal, dit ne pas avoir les fonds pour renouveler son mobilier. Aussi a-t-elle sollicité ses élèves et leurs parents afin qu'ils vendent du chocolat. Le ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, a réagi vertement à cette décision, soulignant que la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoy, à laquelle appartient l'école, dispose d'un surplus accumulé de 10 millions de dollars. Le président de la Centrale des syndicats du Québec, Réjean Parent, s'est demandé, outré, si « on est rendu dans le tiers-monde ou quoi ? », qualifiant toute cette histoire d'inacceptable. Nos enfants sont-ils devenus les «quêteux» de l'école? Pierre Maisonneuve reçoit Serge Morin, président de la Fédération québécoise des directeurs et directrices d'écoles, Réjean Parent, président de la Centrale des syndicats du Québec, et Claude Bouchard, membre du conseil d'administration de la Fédération provinciale des comités de parents et président du comité central de la Commission scolaire de Montréal.
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Cela semble invraisemblable. C'est à se demander si les fonds investis en Éducation comme en Santé ne s'envolent pas en salaires et dépenses somptuaires. Les ''Commandites 101'' ont-elles fait école ? Georges LeSueur
St-Ambroise
Dans une société éclairée et évoluée, les écoles recevraient un financement adéquat et les militaires vendraient du chocolat de porte en porte pour s'acheter des sous-marins et des avions. Robert Guérin
Saint-Basile-le-Grand
Je ferais une introduction au sujet débattu par cet énoncé : Paraît-il qu'en Norvège, l'éducation est meilleure qu'au Québec car il y aurait plus d'éducateurs spécialisés par enfant qu'au Québec et que ça coûte en bout de ligne moins cher qu'au Québec. La raison? Moins de bureaucratie. On en revient donc inlassablement à la même satanée poutine : dégraisser la fonction publique, faire cette fameuse réingénérie de l'état en se débarrassant et en coupant sur le superflus et les écoles vont en avoir de l'argent. On est rendu dans le tiers-monde? À qui la faute? Patrick Côté
Cap-Rouge
Dans notre école, on demande aux élèves de faire le nettoyage de la cour de l'école et on vend de la malbouffe à la cafétéria pour la rentabiliser. Des professeurs ont du faire eux-mêmes des levées de fonds pour acheter des ordinateurs. L'école est dans un état de décrépitude lamentable, les visiteurs n'osent même pas aller aux toilettes. Les responsable du transport scolaire ont tenté de diminuer le nombre d'arrêts d'autobus en demandant aux élèves de se déplacer sur une distance de 800 mètres même sur des artères les plus achalandées. Nous sommes rendu à un point où l'on considère l'éducation comme une dépense alors qu'il s'agit d'un investissement. Stéphane Bourque
Gracefield
Bonjour, Les pupitres maintenant! Pour avoir pendant des années racheté les tablettes de chocolat (pas toujours très bon, hélas...) de mes trois enfants, et pour avoir souvent posé des questions sur ce qui m'apparaissait plutôt ridicule (passer du temps à quêter au lieu d'étudier ou de faire de l'exercice...) je ne peux que réitérer mon éternelle solution : ABOLISSONS LES COMMISSIONS SCOLAIRES. Ce sont des structures aussi coûteuses de plusieurs dizaines de millions, qu'inutiles, et c'est du côté de cette "sur-gestion" (qui rime avec indigestion) que devraient porter les efforts. Au reste ceci est aussi valable en santé qu'en Éducation. Faîtes de l'air, disait la chanson !!!! jean lengellé
Embrun Ontario
Si on replonge dans une continuation du gouvernement Charest au prochaines élections, aussi bien habituer nos enfants à quêter tout de suite... Vincent Leclerc
St-Paul de Joliette
c'est incroyabe le nombre d'anaries que les directeurs de commissions scolaires ou autres directeurs peuvent tenter de justifier : les primes pour les cadres, les ordinateurs portables pour des commissaires et maintenant la quête pour des pupitres dans une école alors qu'on manque d'argent en éducation. prenons tout cet argent gaspillé en primes, portables ou autres et investissonns ces sommes dans l'éducation en classe. si les directeurs et autres veulent se payer des primes, des portables, ils devraient demander aux parents que leurs enfants quêtent pour ramasser ces fonds pour se payer ces primes, juste pour voir la réaction des parents... denis bergeron
sherbrooke
Incroyable ! On a suffisamment d'argent pour entreprendre toutes sortes de réformes, plus ou moins bonnes, mais les items de base ne sont pas financés adéquatement. Je suis bien d'accord avec un autre auditeur, à savoir l'abolition des commissions scolaires ! Bureaucratie, par-dessus bureaucratie, mais que fait le Ministère de l'éducation avec les fonds ? Et puis, du chocolat : pourquoi pas des fruits ou une autre denrée plus saine ? Ou encore la vente de coupons pour les déjeûners des petits ?
Jules Charron
Gatineau
Bonjour, Mon commentaire ci-dessous peut sembler hors sujet, mais je suis convaincu que tout est lié. Par exemple, j’étais surpris d'apprendre que la majorité des investissements en santé, éducation, CPE et autres, sont d'abord dépensés dans tout (logistique, inflation, augmentations salariales, etc…) sauf pour la vraie raison pour laquelle l’organisme existe. Si cette histoire de vente de chocolat choque, je vous soumets l’information suivante. Il existe des CPEs qui demandent aux enfants s’ils désirent recevoir leurs collations. Si un enfant répond par la négative, la CPE « évite le gaspillage !» Quelle belle façon d’économiser les fonds publics, et ce au détriment de la bonne santé des enfants ! Je me demande alors comment les parents réussiront-ils à instaurer une hygiène de repas aux enfants? Où allons-nous ainsi?
Yazid Djerbib
Stittsville, Ontario
M. Maisonneuve, À votre question est-ce que nos enfants sollicitent trop pour les écoles. Je dis oui. Ce qui me sidère c'est lorsque l'enfant à la maternelle revient de l'école avec une feuille volante nous demandant si notre enfant peut faire de la sollicitation en vendant du chocolat , alors que nous savons pertinemment que l'enfant n'est pas en mesure d'effectuer cette tâche. On sait très bien que ça reviendra aux parents de l'assumer. La sollicitation oui mais un peu de discernement S.V.P. Pour des pupitres , là c'est une pure aberration. Danielle Arsenault
Baie-Comeau
Je trouves qu'il y a trop de commission scolaire, pas assez d'argent qui se rendent aux écoles, trop de structure et de document dans un francais incomprehensible de la part du ministère de l'éducation. Parlant de mobilier où est le mobilier des écoles qui ont fermés? Je suis certaine que ca été jeté au poubelle. Il faut dire que ce n'est surement pas la même commission scolaire une qui jete et l'autre qui achète a gros prix. C'est ce qui est arrivé quand on a fermé les hopitaux, on a jeté du matériel d'un hopital qui fermait alors qu'on en manquait ailleurs. Au lieu de couper le salaire des enseignants, c est dans la hierarchie qu'il faut couper. Les parents devraient sortir dans la rue pour avoir les services auquel nos enfants ont droit. Lyse Sweeney
Montréal
Bonjour, Je crois que les campagnes de vente de toutes sortes devraient être limitées à des activités éducatives pour des groupes de jeunes qui ont peu de moyens. J'ai beaucoup de difficulté à accepter ce genre d'activités faites par des écoles privées. Par exemple, un garçon qui fréquente une école privée dont les parents sont parmi les mieux nantis de la rive-sud, me sollicite pour que j'achète du chocolat. Je lui demande quelle est sa bonne cause. Il me répond qu'il a acheté son chocolat de l'école pour tout simplement le revendre avec profit... parce que ses parents ne paieront pas la différence pour l'envoyer en voyage.... par choix personnel. De toute évidence, l'école ne se préoccupait pas de centraliser les résultats des ventes. Je lui ai acheté pour sa belle spontanéité et, en général, j'achète parce que les enfants sont irrésistibles. Mon garçon vend ses articles qu'à la famille et ce n'est pas pour se faire un salaire!!! Hélène Lahaie
Saint-Bruno
C'est dérangeant de voir les enfants être transformés en quêteux ou en vendeux afin de recueillir des fonds pour financer des éléments normalement financés par l'état. Ce n'est pas un phénomène nouveau et on observe la même chose depuis longtemps dans les hôpitaux. J'encourage régulièrement les vendeux de chocolat quand la cause est bonne. Je crois cependant que ces sollicitations ne sont pas dans l'ordre normal des choses. Si ce phénomène existe c'est que l'état ne joue pas adéquatement son rôle. Si on attend après l'état pour passer à l'action quand c'est nécessaire, on risque d'attendre longtemps. Le problème c'est que plus les gens se prennent en main pour s'offrir ce qui est essentiel, plus le gouvernement a tendance à se déresponsabiliser, à couper, recouper et surcouper dans les budgets, en se disant qu'il se trouvera toujours des vendeux de tout et de rien qui seront prêts à prélever ces taxes indirectes que le gouvernement n'a pas le courage de prélever, là où c'est possible.
Paolo Mitriou
Lac-Mégantic
Peu importe la cause, peu importe qui vend quoi, au bout du compte, ce sont toujours les mêmes personnes qui payent. Nous sommes tous sollicités, par diverses causes ou organismes qui doivent composer avec une diminution du soutien de l'État. Ces organismes sont de plus en plus en concurence avec des fondations d'hôpitaux, d'universités ou d'écoles, qui eux aussi ont vu leur salut dans les souscriptions publiques et la vente d'articles divers. Si c'est ça l'effet de la baisse des impôts(!!!), je préfère être imposer équitablement plutôt que de refuser d'accorder mon aide à la majorité des enfants qui veut me vendre des calendriers, des chandelles, du chocolats, du café... Faut que je vous laisse; on sonne à la porte... Probablement un vendeur. Pascal Bélanger
Montréal
Bonjour,quand j'étais petit,on achetait des chinois a l'école et ceux qui en achetaient le plus voyaient leurs noms placés en haut du tableau devant la classe.Encore de la discrimination.
Marcel Laplante
mont-louis,gasp.
L'éducation est gravement soufinancé. Nos gestionnaires et nos ministres ne le disent pas,évidemment. Sur le terrain, dans la classe, les enfants et les enseignants sont fatigués de cette situation et trouvent des solutions à leurs problèmes. Et on continue à dire qu'il faut baisser les impôts. Bientôt avant de se faire hospitaliser nous irons vendre du chocolat pour avoir droit à un repas à l'hôpital. Le scandale c'est qu'on en soit à créer des fondations et envoyer nos enfants quêter pour l'école. André Labelle
Laval
Il faudrait peut-être retourner à la mission première de l'école. L'éducation est fondamentale pour former les citoyens de demain, des femmes et des hommes informés, cultivés et avec un sens critique pour relever les futurs défis d'une société en mutation. Francine Godbout
Sherbrooke
Monsieur Maisonneuve, Hier, à une chaine concurrente, on a diffusé un reportage où on présentait une enseignante qui a intégré des activités de rénovation pour les sièges de la classe par ses élèves. Ceux-ci était fiers de leur oeuvre, un siège personnalisé, avaient appris des techniques de peinture et de bricolage, avaient pris conscience de l'importance et des possibilités du recyclage (peintures, colles et autres). À une autre échelle, il existe au niveau secondaire des cours de menuiserie, de soudure, etc. D'Autre part, les commissions scolaires doivent acquérir ou rénover du mobilier de toute sorte pour son bon fonctionnement. À quand l'intégration des activités d'apprentissage utiles dans l'enseignement? Claude Philippe Nolin
Montréal
J'estime que les yeux et l'intelligence des journalistes de la société d'état devraient enquêter sur l'ensemble de la structure de coûts des commissions solaires en proportion des sommes remises réellement aux écoles pour mener à bien leurs activités au lieu d'investir du temps et des ressources sur une réaction du public face à une aberration totale. Cela serait plus profitable pour la société québécoise an faisant réagir le public sur les vraies affaires. Bien à vous,
Philippe Poitras
Montréal
Je suis une maman d'un bebe de 15 mois, je suis immigrante et vient d'un pays classe sous-developpe par les occidentaux (Algerie). Je trouve ca honteux pour un pays comme le votre qui fait partie du G8 d'envoyez les enfants vendre du chocolat pour des pupitres. Donc je me demande des fois ou est le vrai tiers-monde. Et je suis aussi inquiete de ce qui m'attend quand mon petit va s'asseoir sur un des pupitres de vos ecoles. Est-ce qu'on va me demander de le payer ?. Moi ce qui m'etonne c'est les parents aussi qui acceptent ca car j'ai vu plusieurs enfants le faire et meme les parents. Ratiba TERBAOUI
Montreal
Je n'ai rien contre le principe que les enfants (par extension les familles) participent à des campagnes de financements pour financer des projects comme des voyages. J'entends beaucoup de commentaire concernant des levées de fonds pour financer la réno d'une cour d'école. (il y en a eu une à l'école que fréquentent mes enfants). Une cours d'école N'EST PAS un stationnement de centre commercial!!! Une cour d'école est un lieux d'apprentissage, de socialisation, d'activité sportives et se doit d'etre aménagée pour en conséquence. Merci!!! France Castonguay
Gatineau
A la fin de son mandat le parti Québecois a accorder de créditer 40 heures de salaire au lieu de 35 aux enseignants du Québec. Et a aussi accorder de ne plus faire de distinction de niveau de formation, du primaire au secondaire tous ont eut droit a la plus haute échelle salarial. Le coût d'une telle mesure? Plus de 500 millions$ par année... Ça fait beaucoup de barres de chocolat a vendre pour payer de telles augmentations pour zéro services supplémentaires. D'autant plus que suite a cette augmentation les CEGEP ont suivit avec un "petit" 50 millions$ de plus pour maintient d'écart salarial. On aime bien nous présenter l'achat de matériel ou scruter les primes aux administrations, des dépenses bien petites en regard des plus de 500 millions$ consentis gratuitement année. C'est là qu'il est le vrai problème de l'augmentation des coûts galopant, pas dans l'achat de pupitres ou d'ordinateurs.
Jean Yves Arès
Granby
L'État ne peut compter sur la sollicitation pour acheter des biens essentiels pour l'éducation des enfants. Obliger les enfants à solliciter de l'argent pour des biens essentiels équivaut à du travail forcé... ce qui est totalement illégal et condamnable. jeff charlier
Montréal
Que ce soit du point de vue de l'étudiant que j'ai longtemps été ou du parent que je suis aujourd'hui, le problème me semble toujours le même : au Québec, l'éducation est le chateaufort des fonctionnaires qui ont la volonté d'uniformiser et de contrôler les programmes, les contenus de cours, etc. Ce dont nous avons besoin est une plus grande autonomie directement au niveau des établissement d'enseignement et de la réduction au minimum du tronc commun. Nous devons faire confiance aux enseignants et profiter comme société de la diversité qui serait ainsi créée. Nicolas Belpaire
Montréal
Bonjour, C,est la mêm question en éducation qu'en santé; trop de chefs et pas assez d'indiens. Il est inutile d,avoir autant de fonctionnaires au complexe G à Québec. si on dégraissait on pourrait investir l'équivalent de 10 écoles neuves par année et probablement un bon bout des salaires nécessaires pour payer les enseignants. Ce n'est pas nécessaire de changer de prograqmme à tous les 5 ans. Rome est disparue avec son époque et sa fonctionnarite aigue. Quand va t'on finair par apprendre?
Real Coderre
Drummondville
Les enfants ne devraient jamais avoir à faire des levées de fonds pour acheter ni pupitres, ni cahiers d'exercices. L'État doit s'autodiscipliner et sabrer dans ses dépenses. L'administration, tant dans les écoles que dans les hôpitaux, est excessive et gruge les budgets qui devraient être réservés aux élèves et aux patients. Pierre Simard
Ottawa
Bonjour, Ici nous pouvons voir que l'éducation n'a jamais été une priorité pour le Québécois moyen. Notre société, selon Denys Arcand, n'a pas changé d'un iota. Notre longue traditon d'anti-intelectualisme reste encore profondissimement incrustée dans nos neurones. Il y a du C.R.A.Z.Y. dans chaque contribuable québécois. www.litterature.org Nathaniel Thorne
Montréal
Monsieur Maisonneuve, Les gens ne sont pas flexibles et ne font pas preuve de flexibilité, mais bien de souplesse en français. C'est plutôt en plomberie qu'on parle de flexibilité, en français. Un tuyau flexible, c'est-à-dire qu'il plie sans se casser. Les anglos disent : be flexible, mais les francophones doivent dire : Fairtes preuve de souplesse ! Bravo pour votre émission. Pierre Simard
Ottawa
J'ai 9 ans d'expérience en solicitation dans les écoles que mes enfants fréquentent. J'ai souvent refusé que mes enfants fassent du porte à porte pour la simple raison que je n'aime pas mettre les adultes que l'on solicite dans une situation où ils n'ont pas le choix de refuser face à un enfant. Deuxièmement, l'école impose toujours ses solicitations et ne sont jamais proposées sur une base "volontaire". Troisièmement, les solicitations deviennent en classe une compétition pour savoir qui a ramassé le plus de fond (encouragé par le professeur) et en général, ce sont ceux qui viennent de familles aisées financièrement qui en récoltent le plus au détriment de celles qui non pas le sous. Mme Sarda
Montréal
Bonjour monsieur Maisonneuve, Je suis vraiment désemparée par cette chose. Depuis quand les enfants ou les parents doivent injecter de l'argent ou contribuer pour meubler l'école???? De mémoire, j'ai fait mes études dans des écoles publiques. Tout était propre, chaque élève avait un pupitre, etc. etc. - il y avait des plantes dans les classes et les passages.... et ces écoles étaient bien entretenues. Ça allait de soi! Le Ministère de l'éducation ne s'occupe plus d'offrir aux enfants des endroits accueillants???? qui incitent à l'étude??? Depuis quand les budgets ne comprennent pas des allocations pour les meubles, la peinture, l'entretien, etc. et. C'est honteux et comme disait une dame....le tiers monde...c'est ici.... Comment peut-on parler de progrès alors qu'on agit comme si on était en 1800..... Bravo pour votre émission Lyse Groleau
Montréal
M.Maisonneuve , est-ce que vous ète d'accord avec les entreprises qui font travailler les enfants en Chine ou ailleur .... ? La ligne que vous cherchez c'est celle-ci .... ----les tâches qui sont fait pour épanouir l'enfant (voyage , loisir , art , etc ....) à mon avis lui sont favorables . ----les tâches qui sont fait pour obtenir des $ pour des bureaux ,des ordinateurs etc... sont comme faire travailler des enfants en Chine . Dans cette façon de penser ont pourrait leurs trouver des petits emplois à leurs mesure , les payer sous le salaire minimum et vendre leurs produits ou services aux WallMart ..... peut être qu'on seraient compétitifs avec les chinois . Merci pour votre émission radio
Louis Gagné
Trois-Rivières
Bonjour M. Maisonneuve, Je pense qu'au-delà du fait que la sollicitation par des enfants puisse attester de notre tiersmondialisation, elle demeure malheureusement le fait de caprices d'adultes : une plus belle école, une plus belle cours, un plus beau voyage, un plus beau cadeau, un plus beau, un plus beau. Le ministère de l'Éducation a des engagements et des responsabilités à respecter. Si le ministre n'est pas en mesure de faire sa job et d'assurer une gestion adéquate et fournir au moins le minimum requis, qu'il laisse sa place, tout comme le directeur d'école ou de commission scolaire qui a autorisé la vente de chocolat pour acheter des bureaux. Si y'en a un qui dort à Québec! RÉVEILLEZ-LE ! J'enrage, j'étouffe, raah... Carl Castonguay
Saint-Rédempteur
Bonjour M. Maisonneuse, J'ai écouté dans ma voiture un extrait de votre émission à propos des sollicitations faites par les enfants pour l'achat de meubles dans les écoles. J'enseigne depuis 32 ans et les dents me rallongent bien des fois à voir plein d'absurdités dans ce système... Hier soir j'avais ce message dans mon courriel avec un article rattaché sur le bonus que certaines directions générales bénéficient... Ce n'est que la pointe de l'immense iceberg... Toute cette lourde administration, dont la présence de commissaires inutiles qui n'écoutent pas les bons sons de cloche (les comités de parents et conseils d'établissement devraient suffire!)Où va l'argent pour les écoles? Où va l'argent pour les services aux élèves? J'enseigne au préscolaire et j'ai des élèves en attente d'évaluation en orthophonie. Nous sommes à la fin mars et aucun enfant n'a été vu!!! La demande est faite depuis novembre!!! C'est comme ça à chaque année! Certains ne seront pas vus cette année! De touts petits exemples : la peinture des murs n'a pas été faite depuis plus d'une quinzaine d'années! Il y a un trou qu'on replâtre à chaque année, mais comme ce n'est pas peinturé, les enfants passent en donnant des coups de pieds dans le mur, ce qui agrandit le trou... Allez voir les bureaux des commissions scolaires... Voyez-vous ce que vous voyez sur les murs et l'ameublement des écoles? Les enfants et leur environnement n'est pas toujours au coeur des préoccupations. Heureusement qu'il y a des émissions comme la vôtre pour éveiller les consciences et faire réaliser à ceux qui oublient les véritables priorités de modifier et rajuster leur manière de fonctionner. Je vous remercie pour la belle qualité de votre émission. Dans une armée, lorsqu'il y a plus de fonctionnaires que de soldats, le terrain est loin d'être protégé...
Denyse Morin
St-F-Xavier-Brompton
A quoi servent les cadres scolaires? Voilà une situation que les journalistes n'auraient pas eu à dénoncer si ces cadres percevaient correctement leur mandat dans la mission éducative d'une école. Ils ne sont pas payés pour gérer qu'un budget, mais aussi et surtout pour voir à ce que les objectifs éducatifs soient atteints avec les parents et le personnel enseignant. Cela exige des moyens adéquats. Si les ressources et les moyens manquent, il faut les réclamer haut et fort à la commission scolaire et au besoin mobiliser les parents. Il ne faut pas que les directeurs d'école se lassent de réclamer le nécessaire pour les enfants. En ayant recourt au pis-aller des petites ventes, ils cachent la fumée sans éteindre le feu. André Gamache
Québec
Il faut réaliser que tous et toujours la vie a été axée sur les BABYBOOMERs et encore, Aujourd'hui c'est des Hopitaux que nous avons besoin. Vous pouvez-imaginer le reste.
Ed Lebel
Rang2 Dixville
Le journal de montréal dévoilait le 21 mars dernier qu'une centaine de dirigeants de commissions scolaires s'étaient partagé l,an dernier $ 660,000, ce que Monsieur Yves Michaud dénonçait dans un article de ce journal. Richard Lupien
Ormstown
Vente de chocolat pour réparer des instruments de musique ?? Le désengagement de l'État est partout, dans les écoles . À l'école secondaire Joseph-François-Perrault (quartier Saint-Michel), 700 élèves sont inscrits à un programme concentration-musique qui a 26 ans. Taux de décrochage proche de ZÉRO dans un quartier défavorisé. Le programme est menacé par absence de subvention spéciale ! Elèves et parents en sont eux aussi réduits à vendre du chocolat, des biscuits, les disques de concerts qu'ils enregistrent pour financer une "fondation" qui aide à réparer les vieux instruments de musique prêtés aux enfants, à donner quelques cours... Le ministre Fournier n'a rien à leur offrir comme subvention spéciale. Pourtant, son gouvernement a trouvé 500.000 $ par an à donner à une autre école secondaire, Pierre-Laporte, dans un quartier chic de Montréal ou vivent plusieurs ministres libéraux !! Deux poids-deux mesures !!
Anne Pélouas
Montréal
À propos de la vente de chocolat pour financer les écoles. Dans une société éclairée et évoluée les écoles devraient avoir un financement adéquat et les militaires devraient vendre du chocolat de porte en porte pour s'acheter des avions ou des sous-marins.
Robert Guérin
Saint-Basile-le-Grand
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