 | Commentaire des internautes :

Commentaire En cette époque où l'amour se noue et se dénoue sans lendemain, sans convictions. En cette époque où tout se vend, s'achète, se jette, l'amour compte toujours parmi ces "choses" qui n'ont pas de prix. J'aime croire que tous autant que nous sommes, nous espérons quelque chose de vrai, de profond et qui instaurerait une sorte de durée. Cent ans de solitude, c'est l'histoire d'un amour si vrai, si puissant qu'il survit à un demi siècle d'attente. Un livre que l'on pourrait lire comme une prière au fond... À qui aimeriez-vous l'offrir et quel en serait la dédicace? à moi-même.
Patience, ma belle, patience. Ton tour viendra.
Julie Gravel, Joliette 
Commentaire Par toute sa beauté, sa folie! Par la profondeur de ses personnages. Jamais la solitude n'a été si pleine. À qui aimeriez-vous l'offrir et quel en serait la dédicace? A ma nièce Emilie.
Quand tu étais toute petite j'ai essayé, de te transmettre l'amour que j'avais des livres. Aujourd'hui, maintenant que tu es grande, je t'offre, le plus beau roman qui n'a jamais été écrit.
Bonne lecture
Sylvie
Sylvie Gravel, Rivière du Loup 
Commentaire une saga à la fois réaliste et surréaliste tricoté serré sur les relations humaine de pouvoir et de survie de l'espèce humaine. Un chef d'oeuvre! À qui aimeriez-vous l'offrir et quel en serait la dédicace? A W. BUSH!!!
pOUR UN PEU PLUS DE SENSIBILITÉ ET DE CULTURE...
ginette Tremblayt, st-jean-sur-richelieu 
Commentaire Garcia-Marquez nous donne une leçon d'humanisme dans un style d'une extrême fluidité, d'une grande simplicité, qui nous rappelle que la vie peut être grande sans être compliquée. À qui aimeriez-vous l'offrir et quel en serait la dédicace? À ma fille Mia.
L'amour véritable est toujours ...vrai.
Guy Brisson, Trois-Rivières 
Commentaire Je sais en quoi cela peu expliquer notre époque mais quelle belle poésie que ce livre. À qui aimeriez-vous l'offrir et quel en serait la dédicace? À tous ceux qui se retrouveraient sur une île déserte.
Vous avez tout votre temps alors revenez en arrière pour bien comprendre l'histoire et savourer cette belle poésie.
Yves Sirois, Chambly 
Commentaire L’Amour au temps du choléra, C’est ce roman là que Garcia-Marquez défend et il me semble que c’est effectivement le plus proche pas de notre temps mais de l’humanité, oui.
Hervé hamon, montreal 
Commentaire Un livre mémorable qui permet de prendre conscience de l'impact que peuvent avoir les gestes que l'on pose
Jean-Claude Bernier, Montreal 
Commentaire C'est une grande saga familliale, magique. On retient son souffle jusqu'à la fin du livre. Il y a l'histoire qui se mêle, à la magie et au surréalisme. On ne veut pas que ça se termine!
Catherine Toupin, Montréal 
Commentaire En démontrant comment les actes d'une génération affectent les générations suivantes. On comprend que notre époque n'appartient pas qu'à nous.
Émilie Lafrance, Mont-Saint-Hilaire 
Commentaire Ce village isolé devient métaphore du monde et de l'histoire par ses croyances, ses heures de gloires, sa décadence, ses guerres, ses histoires internes et externes. Le ton est plein d'humour et de tendresse.Une parodie prolifique mené d'une plume de maître, le Don Quichotte sud américain. À lire à tout prix !
Marie-Claude Giroux, Montréal 
Commentaire En voyant le progrès et l'histoire linéaire d'un pays ainsi que sa déchéance
Pelletier A. C., Gatineau secteur Hull 
Commentaire Ce livre n'aide pas qu'à comprendre notre époque. Il présente de façon fabuleuse comment le "dur désir de durer" a permis l'évolution de la condition humaine. Par son doux mélange de magie et de folie, il nous ramène à l'essentiel. C'est un grandiose mythe moderne qui fait chavirer. C'est un grand livre. À qui aimeriez-vous l'offrir et quel en serait la dédicace? À Rosalie et Julien (mes enfants), pour la suite du monde.
Marie-Andrée Dupont, St-Élie d'Orford 
Commentaire Je l'ai lu en espagnol, en français, en anglais... et plusieurs fois encore! Depuis ma rencontre de la famille Buendia en 1979, je ne cesse de revenir les voir.
Vous savez quoi? Ce n'est pas le même livre que je lis à chaque fois.
Aureliano a beaucoup changé depuis ma première lecture, et le nombre de travailleurs de la compagnie bananière massacrés non loin de Macondo ne cesse d'augmenter. Par contre, Remedios est moins timide avec moi. Une épopée poétique, politique, mythique, fantastique et hallucinée de l'Amérique latine greffée sur le microcosme d'un village colombien et d'une famille destinée à disparaître, car « aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n'était pas donnée sur terre de seconde chance. » Pero, Hombre! que importa? Hay que seguir caminando...
Parfois aux limites du surréalisme, ce chef-d'oeuvre du XXe siècle n'est pas le moins du monde hermétique; il est à mettre entre toutes les mains, dès l'adolescence. Garcia Marquez y décrit l'Amérique latine post-coloniale marquée par les luttes, les révolutions, l'exploitation et les dictatures. Roman picaresque également, Cien anos de soledad explore toutes les facettes de l'humanité, de l'amour à la mort, de la compassion à la cruauté, de la sagesse à l'absurdité. À qui aimeriez-vous l'offrir et quel en serait la dédicace? À mes filles, Pauline et Manou, à mes petites-filles, Yasmine et Anaëlle. Parce qu'il nous faut aussi des poètes, des fous et des âmes perdues sur cette putain de planète!
Et à Monique, mon amour, por el Sur y el sol, por el camino hasta las nubes, por un cebiche o un batido bien frio contigo, siempre.
charly bouchara, montréal 
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