
Le calendrier de l'après
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Avec Catherine Perrin
Du lundi au jeudi de 21 h à 22 h (HE)
(en rediffusion du mardi au vendredi à 3 h)
La pandémie, avec le stress qu'elle occasionne, peut contribuer au développement d'un trouble alimentaire tant chez les hommes que chez les femmes.
Photo : iStock
« Découvrir que manger pour pouvoir vomir apporte un certain sentiment de satisfaction, un soulagement, c'est assez étrange », dit Justin, un Montréalais de 40 ans qui est aux prises avec la boulimie depuis quelque temps en raison du stress vécu pendant la pandémie de COVID-19. Selon lui, le sujet des troubles alimentaires chez les hommes est encore tabou de nos jours, ce qui l'empêche lui-même d'en parler à son médecin de famille ou encore à d'autres personnes. « Ce n'est pas quelque chose qui est pris au sérieux », déplore-t-il. Stéphanie Léonard, psychologue spécialisée en troubles alimentaires, et Catherine Perrin y vont de pistes de solution pour venir en aide à Justin.
Les deux femmes recommandent aux personnes qui seraient aux prises avec un trouble alimentaire le site web d’Anorexie et boulimie Québec (ANEB Québec (Nouvelle fenêtre)) ainsi que celui de l’Ordre des psychologues du Québec (Nouvelle fenêtre), deux outils où de nombreuses ressources sont mises à la disposition de la population.
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