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Cette émission n'est plus à l'antenne.
Les « nichons tricotés » ont l’avantage d’être plus légers et de mieux respirer que les prothèses en silicone.
Photo : Facebook / Les Nichons Tricotés / Knitted Knockers
Le 8 juin marque la Journée mondiale du tricot, cette forme d'art bien populaire qui pousse les gens à ralentir et à s'éloigner temporairement de la technologie.
La propriétaire de la boutique Have Ewe Any Wool Yarn Shop de Shédiac au Nouveau-Brunswick, Debbie Belliveau, confirme que le tricot, un peu comme le jardinage, gagne en popularité. Il s’agit en quelque sorte d’un retour aux sources.
Les gens veulent apprendre à faire des choses à la main, pour des raisons économiques
, explique-t-elle.
Faire quelque chose par toi-même, c’est un plaisir de pouvoir dire : c’est moi qui à fait ça !
S’assoir, aiguilles et laine à la main force ses adeptes à ralentir, affirme Debbie Belliveau.
Ça prend au moins deux semaines pour faire une paire de chaussettes ou un chandail avec de la toute petite laine. Il faut que t’arrêtes de vivre vite et que tu prenne le temps de faire de quoi
, souligne-t-elle.
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En cette journée mondiale du tricot, Debbie Belliveau souhaite que le tricot maintienne sa cote de popularité.
J’aimerais que le tricot soit un art qui ne meurt pas. Que ça amène des jeunes femmes, des garçons ou des hommes à tricoter
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