
Métier : journaliste
Marie-Louise Arsenault aborde les nombreux enjeux du travail de journaliste dans le monde d'aujourd'hui.
Vous naviguez sur le nouveau site
Aide à la navigationPlus on est de fous, plus on lit!
Avec Marie-Louise Arsenault
En semaine de 13 h à 15 h
(en rediffusion du mardi au vendredi à 1 h et le samedi à 20 h)
L'acteur Sylvester Stallone lors de la première japonaise du film Rambo en 2008.
Photo : Getty Images / Koji Watanabe
« Un héros, qui même s'il est récupéré à une sauce très patriotique et vengeresse, garde son aspect traumatisé. Il est profondément tragique, détruit, marqué par ses actions. » L'écrivain et professeur de littérature Samuel Archibald analyse l'une des figures populaires les plus mythiques : Rambo. Apparu en 1972 dans First Blood, le roman du Canadien David Morrell, et popularisé par Sylvester Stallone au cinéma en 1982, John Rambo incarne un personnage qui est constamment en guerre, contre ses démons intérieurs et son pays qui l'a abandonné.
Le roman a été écrit à un moment où [les États-Unis] se retirent par la pointe des pieds du Vietnam. Le public n’est pas nécessairement au courant des traumatismes qu’ont vécus les soldats là-bas. Ce qui est fort, et ce qui est audacieux pour un Canadien, c’est de jeter un premier regard [critique] sur ce conflit-là.
Résumé de l’éditeur : Dans une petite ville américaine, le shérif Teasle interpelle un vagabond et lui donne l'ordre de quitter la ville. John Rambo, ancien du Vietnam, refuse, n'acceptant pas d'être traité de la sorte. Une lutte sans merci s'engage dès lors entre le vétéran que la guerre a transformé en machine à tuer et les forces d'élite appelées en renfort pour le maîtriser.
Vos commentaires
Veuillez noter que Radio-Canada ne cautionne pas les opinions exprimées. Vos commentaires seront modérés, et publiés s’ils respectent la nétiquette. Bonne discussion !