
Métier : journaliste
Marie-Louise Arsenault aborde les nombreux enjeux du travail de journaliste dans le monde d'aujourd'hui.
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Avec Marie-Louise Arsenault
En semaine de 13 h à 15 h
(en rediffusion du mardi au vendredi à 1 h et le samedi à 20 h)
Mylène Mackay dans le film « Nelly » d'Anne Émond
Photo : Courtoisie du TIFF
« Je veux qu'on se la rappelle, parce que c'était quand même une grande écriture. [...] Je pense que Nelly Arcan, oui, c'est une vie tragique, mais c'est aussi un grand succès, des grands succès quand même incroyables. » À l'occasion de la sortie cette semaine du film Nelly, librement inspiré de la vie et de l'œuvre de Nelly Arcan, la réalisatrice Anne Émond explique les raisons qui l'ont poussée à consacrer son troisième film à la regrettée auteure québécoise.
« J’étais vraiment fascinée par ce personnage-là et quand elle est morte, j’ai pleuré comme si je perdais une amie », raconte-t-elle.
Je pense que son écriture faisait qu’on se sentait très proche d’elle, d’une certaine façon.
À écouter aussi sur Première PLUS : Nelly Arcan, l’étoile filante de la littérature québécoise
Avec Nelly, Anne Émond a notamment voulu dépeindre la complexité de la personnalité de l'écrivaine québécoise, qui s'est suicidée en 2009 à l'âge de 36 ans.
« Je pense que, dans le film, on a choisi une approche qui est assez éclatée et qui la divise carrément en quatre femmes, en quatre facettes d’une même femme : on a l’artiste, on a la prostituée, on a l’amoureuse et on a le sex-symbol. »
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