
Bien entendu, la grande entrevue
Au moyen de longs entretiens, Stéphan Bureau propose un regard unique sur l'actualité culturelle, sociale, politique et économique.
Nous utilisons les témoins de navigation (cookies) afin d'opérer et d’améliorer nos services ainsi qu'à des fins publicitaires. Le respect de votre vie privée est important pour nous. Si vous n'êtes pas à l'aise avec l'utilisation de ces informations, veuillez revoir vos paramètres avant de poursuivre votre visite.Gérer vos témoins de navigationEn savoir plus
Vous naviguez sur le nouveau site
Aide à la navigationPénélope
Avec Pénélope McQuade
En semaine de 9 h à 11 h 30
(en rediffusion à 22 h)
Derrek Bentley milite pour que la définition de francophone au Canada en général, mais au Manitoba en particulier, soit la plus inclusive possible.
Photo : Fournie par Derrek Bentley
Au lendemain du passage de Denise Bombardier à Tout le monde en parle pour présenter son documentaire, Denise au pays des Francos, Pénélope McQuade a réuni quatre intervenantes et intervenants du film issus de communautés francophones de partout au pays. Tous et toutes regrettent que Denise Bombardier s'attaque à la qualité de la langue française.
- Stéphanie Chouinard, politologue au Collège militaire royal du Canada, à Kingston
- William Burton, fondateur de la plateforme Le Réveil, en Ontario
- Derrek Bentley, de Winnipeg
- Louise Imbeault, chancelière de l’Université de Moncton et présidente de la Société nationale de l’Acadie
C’est faux de dire que les communautés de francophones au Canada ont disparu. [...] Il faut laisser les communautés parler pour elles-mêmes. La réalité n’est pas la même qu’on soit un francophone à Dieppe, à Moncton, à Victoria ou à Vancouver.
Au Manitoba, la francophonie est de plus en plus inclusive. Elle inclut des gens qui, comme moi, n’ont pas le français comme langue maternelle. [...] Mais partout au Canada, il y a encore du travail à faire pour mieux inclure les gens qui veulent vivre en français dans nos communautés et ne pas s’arrêter à leur accent, leur origine, leurs fautes de français.
Il faut prôner la fierté francophone auprès des jeunes par la culture, avec les artistes. Une fois que les jeunes apprennent à aimer le français, ils veulent élever leur niveau de français.
On ne va pas se cacher que l’assimilation linguistique nous guette, qu’il y a de l’insécurité linguistique dans nos écoles. Mais dire qu’on doit abandonner et parler anglais tout de suite, ça me choque.
En octobre 2018, Denise Bombardier avait affirmé lors de son passage à Tout le monde en parle que pratiquement toutes les communautés francophones à travers le Canada avaient disparu. Ses propos avaient eu l’effet d’une bombe un peu partout dans la francophonie canadienne. Elle a donc décidé de partir à la rencontre de ces communautés canadiennes qui ont choisi de vivre en français. Son périple a donné le documentaire Denise au pays des Francos, en ligne sur ICI Tou.tv (Nouvelle fenêtre).
Il sera diffusé sur ICI Télé le 12 octobre à 22 h 30 dans le cadre de l’émission Doc humanité et en rediffusion hors Québec le 13 octobre à 17 h.
ImportantAfin de favoriser des discussions riches, respectueuses et constructives, chaque commentaire soumis sur les tribunes de Radio-Canada.ca sera dorénavant signé des nom(s) et prénom(s) de son auteur (à l’exception de la zone Jeunesse). Le nom d’utilisateur (pseudonyme) ne sera plus affiché.
En nous soumettant vos commentaires, vous reconnaissez que Radio-Canada a le droit de les reproduire et de les diffuser, en tout ou en partie et de quelque manière que ce soit.
Vous avez repéré une coquille?
Signalez-la-nousVous êtes témoin d’un événement?
Partagez vos infosVous avez des questions sur notre travail?
Consultez nos Normes et pratiques journalistiquesAu moyen de longs entretiens, Stéphan Bureau propose un regard unique sur l'actualité culturelle, sociale, politique et économique.
Réentendez en archives ces femmes qui ont eu une influence marquante, non seulement sur la radio, mais sur notre société.
Le docteur René Wittmer aborde sans détour les problèmes de santé qui suscitent souvent des questions chez ses patients.
Ensemble, ils réfléchissent au chemin parcouru et à celui qu'il reste à parcourir dans la reconnaissance des communautés autochtones.
L'autrice discute entre amies de sujets de filles, le tout sans tabou ni mauvaise réponse.
Vos commentaires
Veuillez noter que Radio-Canada ne cautionne pas les opinions exprimées. Vos commentaires seront modérés, et publiés s’ils respectent la nétiquette. Bonne discussion !