
Héritage (A Raisin in the Sun)
Dans les années 50, trois générations d'une famille afro-américaine vivent entassées dans un appartement de Chicago.
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Avec Rebecca Makonnen
Du lundi au jeudi de 20 h 30 à 21 h
(en rediffusion du mardi du vendredi à 00 h 30)
Une des installations de l'artiste Pony sur le boulevard Saint-Laurent, qui vise à contrer le vandalisme.
Photo : Société de développement du boulevard Saint-Laurent
La publicité peut sembler agressante pour de nombreux citadins, notamment à cause de l'image des femmes qu'elle véhicule, mais elle peut aussi embellir la ville. La directrice de création adjointe pour Cossette Thimalay Sukhaseum et l'artiste visuelle Gabrielle Laïla Tittley (Pony) s'entendent pour dire que les grands panneaux publicitaires ne sont pas près de disparaître, mais qu'il y aurait toutefois moyen d'avoir plus d'art dans l'espace urbain.
À moyen terme, la solution pour avoir un environnement plus agréable serait peut-être, croient-elles, un système hybride où les propriétaires de panneaux publicitaires offriraient leurs espaces non vendus à des artistes. Des organismes locaux pourraient aussi payer des façades comme espace d’exposition, comme l’a fait la Société de développement du boulevard Saint-Laurent.
« C’est sûr qu’en tant que femme, ça me fait du bien d'imaginer une ville sans publicité », souligne Gabrielle Laïla Tittley. De son côté, Thimalay Sukhaseum considère qu’une bonne partie de la publicité présente à Montréal est créative et respecte l’environnement des gens. Elle ajoute que de nombreuses agences de publicité font affaire avec des artistes afin de rendre les affiches de leurs campagnes attrayantes.
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