
Dis-moi, docteur
Le docteur René Wittmer aborde sans détour les problèmes de santé qui suscitent souvent des questions chez ses patients.
8 éléments, 2 h 10 min
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Avec Matthieu Dugal
Du lundi au jeudi de 19 h à 20 h
(en rediffusion le samedi à 1 h)
Simon Boulerice affirme qu'Internet fait souvent partie intégrante de son processus de création.
Photo : Radio-Canada / Karl-Philip Vallée
Si certains auteurs doivent s'enfermer dans un chalet dans la forêt pour écrire, c'est loin d'être le cas de Simon Boulerice. L'auteur de Javotte croit même que certaines de ses œuvres n'auraient jamais vu le jour sans le brouhaha des réseaux sociaux. Coup d'œil sur son historique de recherche.
« J’ai besoin d’aller sur Internet constamment et d’avoir 18 fenêtres ouvertes. Ça me donne de l’élan dans la création », affirme M. Boulerice.
Le web lui permet notamment d’obtenir des réponses à ses questions lorsqu’il est en train d’écrire, mais aussi de trouver des personnes qu’il n’aurait pas pu rencontrer par lui-même.
« Une fois, j’ai dû contacter Jeanne Moreau pour qu’elle puisse valider un roman que j’avais écrit qui s’appelait Jeanne Moreau a le sourire à l'envers, se remémore Simon Boulerice. Grâce à Facebook, quelqu’un m’a donné son courriel et je lui ai écrit. Mon tout dernier roman est inspiré [de l’histoire de Cédrika Provencher]. Lorsqu’on a retrouvé ses ossements, sa meilleure amie a témoigné et j’ai eu envie de la retrouver. J’y suis arrivé grâce à Facebook. »
Le prolifique auteur, qui vient tout juste de faire paraître Je t’aime beaucoup cependant, explique qu’il a aussi des petits plaisirs coupables sur Internet, mais il vous faudra écouter l’entrevue intégrale pour les connaître!
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