Il ne serait pas étonnant, dans les années à venir, d'assister au Québec à un scénario semblable à celui qui s'est produit ces dernières semaines en Australie. C'est du moins ce qu'affirme Christian Messier, professeur d'écologie forestière à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et à l'Université du Québec en Outaouais (UQO). « Les Laurentides, c'est très peuplé et il y a du monde partout. C'est quand même assez coniférien, et les conifères, ça brûle bien. Avec les changements climatiques, il s'agirait d'avoir un été très sec, et on pourrait avoir des feux de forêt partout dans les Laurentides. »
Elles dérangent encore beaucoup de gens, mais les poupées hyperréalistes (reborn dolls) apportent de nombreux bienfaits aux personnes qui s'en procurent une ou qui les collectionnent. C'est du moins ce que dit Émilie St-Hilaire, candidate au doctorat et affiliée au programme Public Scholar de l'Université Concordia. Celle dont la thèse porte sur les relations entre êtres humains et objets humanoïdes explique que malgré le stigma social qui est associé aux poupées hyperréalistes, ces dernières soulagent l'anxiété et la détresse psychologique, et apportent même des bienfaits aux personnes souffrant d'alzheimer.
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Avec Matthieu Dugal
Du lundi au jeudi de 19 h à 20 h
(en rediffusion le samedi à 1 h)
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