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Entourés d'analystes et de correspondants, Michel C. Auger et Manon Globensky décortiquent les moments marquants de la semaine.
23 éléments, 10 h 12 min
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Avec Michel C. Auger
En semaine de 11 h 30 à 13 h
Alexandra Stréliski a été sacrée révélation de l’année et compositrice de l’année à l’ADISQ, le 27 octobre 2019.
Photo : Radio-Canada / MARTIN OUELLET-DIOTTE
Pour l'avant-dernière entrevue de sa série « leur instant 2019 », Manon Globensky nous transporte à salle Wilfrid-Pelletier, le 27 octobre dernier, lors d'un Gala de l'ADISQ plein de surprises où la pianiste Alexandra Stréliski a été sacrée révélation et compositrice de l'année.
« C’est rare qu’on gagne des prix en musique instrumentale et en tant que femme. Je pensais que je partais avec un handicap assez lourd pour ne pas me ramasser sur la scène ».
L’étonnement était d’autant plus grand que la compositrice avoue qu’elle n’avait pas l’ambition de faire de la musique un métier. « En 2017, j’ai décidé que j’allais me lancer là-dedans à la suite d'une assez grosse crise existentielle. Ça a été une révélation pour moi aussi d’être adoptée aussi rapidement et par un aussi grand nombre de gens », admet-elle.
Alexandra Stréliski explique sa récente popularité par l’effet enveloppant de son album Inscape. « C’est une trame sonore de la vie de la personne. Ça accompagne les épreuves, les émotions. Il y a quelque chose de totalement altruiste là-dedans. Les gens ont besoin de douceur et ça leur fait du bien. »
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