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Les deux complices férus de politique Michel C. Auger et Manon Globensky décortiquent les moments marquants de la semaine, en laissant place …
17 éléments, 7 h 38 min
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Avec Michel C. Auger
En semaine de 11 h 30 à 13 h
Les militants d'Extinction Rébellion ont été arrêtés sur la structure du pont par des policiers du groupe tactique de la Sûreté du Québec assistés de l'équipe de sauvetage en hauteur des pompiers de Montréal.
Photo : Radio-Canada / Simon-Marc Charron
Les militants écologistes d'Extinction Rebellion ont entamé une rébellion internationale cette semaine pour dénoncer l'inaction des gouvernements à l'égard de la crise climatique.
Mardi, ils ont bloqué le pont Jacques-Cartier, à Montréal, ou encore le pont Walterdale, à Edmonton.
Ce mouvement est né en octobre 2018 à Londres, dans la foulée de la publication du rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). « Leurs actions sont fondées sur la désobéissance civile et l’action directe », précise Étienne Leblanc, le journaliste spécialiste des questions environnementales à Radio-Canada.
Certains se disent prêts à se faire arrêter par les forces de l’ordre et même à aller en prison.
D’après Étienne Leblanc, les différents organismes environnementaux ne s’enthousiasment pas particulièrement de la manière de faire d’Extinction Rebellion, « à part peut-être Greenpeace, qui fait des actions similaires ». Pour le journaliste, beaucoup sont devenus plus pragmatiques et acceptent de discuter avec les autorités.
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