
Ma version des faits
La journaliste judiciaire Isabelle Richer revient sur les procès qui l'ont marquée et qui ont marqué le Québec.
19 éléments, 8 h 14 min
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Aide à la navigationLes faits d'abord
Avec Alain Gravel
Le samedi de midi à 13 h
(en rediffusion le dimanche à 3 h)
Un expert analyse les images d'un cerveau.
Photo : iStock
Les sénateurs ont proposé cette semaine un élargissement de la loi sur l'aide médicale à mourir pour inclure les personnes souffrant de maladie mentale ou d'une maladie dégénérative, comme l'alzheimer. Pour nous faire comprendre ces amendements sénatoriaux, le Dr Judes Poirier, directeur de l'unité de neurobiologie moléculaire de l'Institut Douglas, cite l'exemple de la Hollande et du Luxembourg.
[Ces pays] ont décidé d’accepter la maladie mentale, [ainsi que] la maladie d’Alzheimer, comme étant une véritable souffrance. Ce qui est au centre du débat, c’est est-ce qu’on s’en tient à la maladie physique, quantifiable, ou est-ce qu’on inclut la maladie mentale?
Le docteur départage deux catégories de patients et explique en quoi certains sont plus susceptibles de demander l’aide médicale à mourir.
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