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Avec Patrick Masbourian
Une femme en fin de vie se fait tenir la main par une personne proche.
Photo : iStock / Obencem
L'acharnement thérapeutique comporte son lot de questionnements éthiques pour les patients, les familles et les soignants, souligne l'éthicienne clinique Marie-Ève Bouthillier. La complexité derrière cet enjeu ne doit cependant pas faire ombrage à la réflexion que tous devraient avoir à ce sujet. Bien faire part à nos proches de nos volontés par rapport à l'acharnement thérapeutique peut permettre, en bout de piste, d'éviter des conflits.
« C’est important de non seulement y penser pour soi-même, mais de le communiquer à nos proches. Ça va éviter l’acharnement thérapeutique et ça va éviter bien des casse-têtes », souligne Marie-Ève Bouthillier, qui œuvre à l'hôpital de la Cité-de-la-Santé de Laval.
Il faut que les gens, de façon individuelle, de façon personnelle, en viennent à parler de leur volonté de fin de vie. Personne n’aime parler de la mort, mais parler de la mort, ça ne fait pas mourir.
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