Cigarettes électroniques : les produits aromatisés désormais interdits à l’Î.-P.-É.
Les intervenants espèrent ainsi réduire le nombre de jeunes qui vapotent, mais un détaillant en doute.
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Aide à la navigationLe réveil / Île-du-Prince-Édouard
Avec Denis Duchesne
En semaine de 6 h à 9 h
Le programme d’immersion française en Louisiane est en vigueur depuis plus de 50 ans.
Photo : Radio-Canada / François Pierre Dufault
L'auteur-compositeur-interprète Zachary Richard est l'un des instigateurs de la campagne.
Une pétition tente de garantir que les enseignants francophones et acadiens qui travaillent dans les programmes d’immersion française en Louisiane, aux États-Unis, puissent donner leurs cours à la prochaine rentrée, à l’automne.
En raison de l’abolition du visa de travail temporaire J-1 effectuée par le président américain Donald Trump, l’arrivée de ces enseignants étrangers au pays serait menacée.
Il [le président Donald Trump] veut jouer dur avec l’immigration qui a d'ailleurs toujours été l’un de ses chevaux de guerre.
L’auteur-compositeur-interprète Zachary Richard, l’un des instigateur de la pétition, explique que 73 nouveaux enseignants devraient arriver au pays, à l’automne. Cela nous laisse dans un grand désarroi
, déplore-t-il.
Selon M. Richard, environ 2 000 élèves risquent d’être retirés du programme d’immersion en raison du manque d’enseignants.
La pétition a reçu plus de 5 300 signatures à date, selon Zachary Richard.
L'objectif est de sensibiliser les politiciens et les représentants locaux à l’importance des programmes d’immersion.
Petition Aidez-Nous à Sauver l'Immersion Française (Nouvelle fenêtre)
Une demande d’exemption de visa pour ces enseignants a été déposée auprès du gouvernement américain, selon Zachary Richard. La sollicitation devra encore être traitée par le département américain de la Sécurité intérieure.
M. Richard déplore aussi le fait de ne pas pouvoir passer son été en Acadie et au Québec, cette année, en raison de la pandémie.
Je suis bloqué de l’autre côté de la frontière, en attendant que les choses se libèrent davantage.
D’après l’entrevue de Denis Duchesne
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