
Ça s'explique
Alexis De Lancer va au-delà de la nouvelle pour mieux comprendre les grands enjeux d'actualité.
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Aide à la navigationLe 15-18
Avec Annie Desrochers
En semaine de 15 h à 18 h
Une quarantaine de cas de COVID-19 sont associés à une soirée karaoké au Bar le Kirouac, à Québec.
Photo : Radio-Canada / Guillaume Croteau-Langevin
Après que la santé publique a déclaré que le karaoké était une activité à haut risque pour la transmission de la COVID-19 à la suite d'une éclosion survenue dans un bar de Québec, Marie-Pascale Pomey, professeure titulaire à l'École de santé publique de l'Université de Montréal, rappelle que ce n'est pas parce qu'une activité est légale qu'elle est sans risque.
Elle souligne que les risques de contracter la COVID-19 dans un lieu public sont surtout liés à la quantité de personnes présentes dans ce lieu, à la distance qui les sépare les unes des autres et au partage d’objets entre elles. Les endroits et les activités où ces conditions sont réunies, comme les soirées karaoké, sont donc à éviter, car elles représentent un risque élevé de propager la maladie.
Marie-Pascale Pomey estime aussi que certains risques valent plus la peine d’être pris que d’autres. On ne peut pas mettre sur le même pied le retour l’école et le fait d’aller au bar
, croit-elle.
La professeure pense que le gouvernement du Québec doit trouver une façon de responsabiliser les gens pour qu'ils prennent leurs précautions et qu'ils évitent de mettre en danger leurs compatriotes.
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