L'héritage florissant de Marie-Victorin
Le 15-18
Avec Annie Desrochers
En semaine de 15 h à 18 h
L'héritage florissant de Marie-Victorin

Le frère Marie-Victorin dans son bureau de l'Institut botanique en 1939
Photo : Division des archives de l'Université de Montréal
Le Jardin botanique de Montréal, le rêve du frère Marie-Victorin, a officiellement ouvert ses portes au public en 1936. Désireux de transmettre son savoir et sa passion aux nouvelles générations, Marie-Victorin avait milité pendant plusieurs années pour son ouverture. L'historien Jean-François Nadeau raconte la genèse d'une réalisation qui rayonne encore aujourd'hui.
Si on est capables de nommer les choses qui nous entourent, on possède d’une certaine façon ce pays qui est le nôtre.
Un héritage colossal
Au début des années 1910, Marie-Victorin, né Conrad Kirouac, ébauche un projet ambitieux : écrire une nouvelle flore du Québec. Il lui faudra près de 25 ans pour que l’œuvre voie la lumière du jour; en 1935, il publie la Flore laurentienne.
Il a entraîné dans son sillage toute une jeune génération de scientifiques qui sont devenus extrêmement importants.
À sa mort, en 1944, Marie-Victorin laisse en héritage une science botanique propre au Québec, ainsi qu’un fleuron montréalais, son Jardin botanique.
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