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Avec Alain Gravel
Tracy Trash, drag queen
Photo : Radio-Canada / Hugo Lavoie
La drag queen Tracy Trash roule sa bosse depuis plus de 15 ans au Cabaret Mado, rue Sainte-Catherine. Le chroniqueur urbain Hugo Lavoie est allé la rencontrer à 14 h, heure du début de la transformation d'un personnage qui a toujours sa place et sa pertinence dans le paysage montréalais.
Tracy Trash est catégorique, les drag queens ont encore leur raison d’être aujourd’hui. « Abandonner, ça serait baisser les bras [...]. C’est important de le faire avec respect et de [connaître l’histoire du métier] et savoir d’où l'on vient », explique-t-elle.
À ses débuts au Cabaret Mado, il y a plus de 15 ans, les drag queens étaient marginales. Tracy Trash a été attirée par le côté artistique du métier, un aspect qui est beaucoup plus reconnu aujourd’hui qu’il ne l’était à l’époque.
Après avoir fait l’école de théâtre, je me suis dit que ce n’était pas vrai que j’allais vendre des sandwichs et du café toute ma vie.
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