
Votre nouvelle émission du samedi : À échelle humaine
Samedi de 7 h à 11 h
Nous utilisons les témoins de navigation (cookies) afin d'opérer et d’améliorer nos services ainsi qu'à des fins publicitaires. Le respect de votre vie privée est important pour nous. Si vous n'êtes pas à l'aise avec l'utilisation de ces informations, veuillez revoir vos paramètres avant de poursuivre votre visite.Gérer vos témoins de navigationEn savoir plus
Vous naviguez sur le nouveau site
Aide à la navigationEnfin samedi
Avec Isabelle Ménard
Le 26 décembre et le 2 janvier
de 6 h à 7h
Scène du film Actes de Violence, réalisé par le canadien Jay Baruchel.
Photo : Photo de presse
Random Acts of Violence (Actes de violence en v.f.), le dernier film de Jay Baruchel, raconte l'histoire d'un bédéiste dont l'œuvre s'inspire des meurtres d'un véritable tueur en série et qui découvre avec effroi que le tueur s'inspire à son tour de ses livres pour faire de nouvelles victimes.
Le film suit à la lettre les codes du genre : le suspense, les lieux glauques, les poursuites effrénées et bien sûr, le tout agrémenté de magistraux tableaux ensanglantés.
C’est toujours la finale de l’opéra dans un film d’horreur
, explique Jay Baruchel, qui confie être un grand amateur de sensations fortes, tant dans la littérature ou la musique.
Le scénario se démarque toutefois par ses réflexions sur la misogynie et le culte de la violence. Jay Baruchel et son co-scénariste, Jesse Chabot, ont d'ailleurs réfléchi sur l'expérience d’un film d'horreur qu'ils recoivent en tant qu'hommes blancs privilégiés, à travers les images véhiculées dans ce genre cinématographique et toutes autres formes d’art plus violentes.
Je n’ai jamais écouté un film d’horreur qui a posé ces questions. Je veux créer quelque chose qui est vrai et qui vient de moi. Ce sont donc des questions que je me suis posé moi-même.
Il demeure, par contre, très conscient que son rôle n’est pas de donner des leçons mais bien de poser des questions, sans nécessairement donner toutes les réponses.
Avec Jesse Williams, Jordana Brewster, Niamh Wilson et Jay Baruchel
Au cinéma et sur les plateformes de diffusion dès maintenant.
ImportantAfin de favoriser des discussions riches, respectueuses et constructives, chaque commentaire soumis sur les tribunes de Radio-Canada.ca sera dorénavant signé des nom(s) et prénom(s) de son auteur (à l’exception de la zone Jeunesse). Le nom d’utilisateur (pseudonyme) ne sera plus affiché.
En nous soumettant vos commentaires, vous reconnaissez que Radio-Canada a le droit de les reproduire et de les diffuser, en tout ou en partie et de quelque manière que ce soit.
Vous avez repéré une coquille?
Signalez-la-nousVous êtes témoin d’un événement?
Partagez vos infosVous avez des questions sur notre travail?
Consultez nos Normes et pratiques journalistiquesSamedi de 7 h à 11 h
Le Carrefour francophone de Sudbury fait l'inventaire et le tri de ses archives en vue de son déménagement à la Place des Arts du Grand …
L'enseignante de Toronto Jacqueline Gagnon, qui a surmonté un cancer du sein en pleine pandémie, est préoccupée par la rentrée scolaire.
L'organisation Le Pas veut apporter la convivialité française dans la métropole.
Random Acts of Violence (Actes de violence en v.f.), le dernier film de Jay Baruchel, raconte l'histoire d'un bédéiste dont l'œuvre s'inspire …
Vos commentaires
Veuillez noter que Radio-Canada ne cautionne pas les opinions exprimées. Vos commentaires seront modérés, et publiés s’ils respectent la nétiquette. Bonne discussion !