Finir sa vie chez soi, un choix de société
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Mourir à domicile : un désir revendiqué par la majorité de la population québécoise. Toutefois, dans la réalité, seuls 11 % des décès surviennent à la maison. Au-delà de la simple question des coûts – le maintien des personnes en fin de vie à domicile se révèle moins onéreux que de les envoyer à l'hôpital – se pose la question de ce que, collectivement, nous voulons prioriser. Akli Aït Abdallah a rencontré des patients en fin de vie, leurs proches et des équipes médicales. État des lieux.
Le gouvernement veut doubler les chiffres et porter à 20 % le nombre de personnes qui pourront finir leurs jours chez eux d'ici 2020. Entrevue avec le ministre de la Santé, Gaétan Barrette.