
Ça s'explique
Un sujet, un invité et une dizaine de minutes pour en jaser. C'est le rendez-vous matinal que propose Alexis De Lancer.
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Aide à la navigationDésautels le dimanche
Avec Michel Désautels
Le dimanche de 10 h à 12 h
(en rediffusion le lundi à 3 h)
La police patrouillait devant le lycée de Columbine à Littleton au Colorado, le 17 avril dernier, en raison des menaces de Sol Pais, une jeune femme de 18 ans obsédée par la tuerie de Columbine.
Photo : AFP/Getty Images / CHET STRANGE
Il y a 20 ans, le 20 avril 1999, deux adolescents armés tuaient 13 personnes à la Columbine High School, près de Littleton, au Colorado. Deux garçons de 17 et de 18 ans avaient acheté des armes sans qu'on ne vérifie s'ils étaient majeurs. Vingt ans plus tard, le nom de Columbine reste encore bien présent dans la mémoire collective.
Pourtant, d'autres drames semblables se sont produits par la suite : San Bernardino, 14 morts; Virginia Tech, 32 morts; Sandy Hook, 27 morts; Orlando, 49 morts; Las Vegas, 58 morts, et Parkland, 17 morts. Aux États-Unis, les armes à feu ont fait des victimes pas seulement dans des tueries de masse. Par exemple, en 2016, ce sont plus de 37 000 Américains qui ont perdu la vie par balles. En dépit de toutes ces morts, les ventes d'armes ne diminuent pas. D'où vient cette fascination des Américains pour les armes à feu?
Michel Désautels s'entretient avec le criminologue Frédéric Lemieux, professeur et directeur du programme de maîtrise en renseignements à l'Université Georgetown, à Washington.
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