Elle combine de cette façon ses deux passions, la danse et le cinéma avec un court-métrage sur le corps en mouvement. Beatriz Mediavilla prévoit une chorégraphie pour chacune des trois lois de Newton.

Beatriz Mediavilla mise aussi sur la diversité.

Je vais faire quelques ateliers avec l’Agora des Arts, j’ai aussi les partenariats de la Mosaïque et de Minwashin pour aller chercher justement des gens des communautés autochtones et des communautés primoarrivantes, des immigrants, décrit-elle.

Le tournage doit débuter au début du mois de mars avec le réalisateur Dominic Leclerc.

En ce temps de pandémie, la cinéaste s’attend à devoir changer ses plans initiaux.

Au départ, je ne m’étais pas vraiment fixé nécessairement de limite de participants, mais là avec la COVID, c’est un peu plus particulier donc je pense que je vais devoir me limiter à dix. Je voudrais des participants de 10 ans à 70 ou 80, mais avec la COVID je vais peut-être encore une fois être obligée du moins pour la première partie du tournage de limiter les âges, se désole-t-elle.

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