Vers une fracture des mouvements complotistes
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Avec Guillaume Dumas
En semaine de 15 h à 18 h
Vers une fracture des mouvements complotistes

Parler se présente comme un champion de la liberté d'expression. Le réseau social est surtout apprécié de la droite conservatrice américaine.
Photo : AFP / Getty Images / Olivier Douliery
Alors que certains réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et Youtube bannissent les groupes extrémistes, les adeptes de mouvements complotistes et conspirationnistes se multiplient et trouvent refuge dans des réseaux sociaux alternatifs, moins encadrés que les grands réseaux sociaux traditionnels. Selon des propos rapportés par le New York Times et le Washington Post, les partisans de Donald Trump qui ont participé à l'invasion du Capitole le 6 janvier dernier se sont justement servis d'une de ces plateformes alternatives pour orchestrer un soulèvement contre la Maison Blanche.
Entrevue avec Marie-Ève Carignan, la directrice du pôle médias de la Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violents et professeure au département de communication de l'Université Sherbrooke
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