
Bien entendu, la grande entrevue
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Avec Stéphan Bureau
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Pancarte d'immeuble vendu à Montréal
Photo : La Presse canadienne / Graham Hughes
Après des records de vente en immobilier résidentiel en 2020, la première moitié de 2021 devrait filer à la même allure en raison d'une offre au plus bas, des taux d'intérêt chétifs et d'acheteurs qui se pressent au portillon. Les mises en vente retardées par la pandémie pourraient toutefois ramener l'équilibre à compter de l'été. L'immobilier commercial, lui, tangue au gré de la solidité financière des entreprises. Deux experts expliquent à Stéphan Bureau pourquoi il faut regarder vers les centres-villes pour des prix plus bas.
Georges Bardagi, courtier immobilier, ne croit pas que la surchauffe actuelle représente une bulle immobilière. « Il faudrait que les taux augmentent de façon significative pour que les prix des maisons commencent à baisser, dit-il. Et avec les dettes que les gouvernements ont formées, je ne vois pas comment ça pourrait arriver à court terme. »
Pour Michel Léonard, président du Fonds de placement immobilier BTB, l’avenir des centres-villes repose grandement sur la santé de ses plus grands locataires. Il a vu en 2020 une fragilité à laquelle il ne s’attendait pas : « J’ai été quand même grandement surpris de voir que deux mois de ventes pas faites dans le cadre de leurs opérations normales faisaient en sorte que ces gens-là se plaçaient sous la protection de leurs créanciers », dit-il.
Il poursuit : « Ils ont été capables de passer 2020, mais seront-ils capables de passer 2021 en répétant la même chose? Alors, oui, c’est très inquiétant de ce côté-là. »
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