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L’Université de l’Ontario français, l'université du 21e siècle

Y a pas deux matins pareils, Ici première
Audio fil du mercredi 12 septembre 2018

L’Université de l’Ontario français, l'université du 21e siècle

Normand Labrie en conférence au Club canadien

Normand Labrie, recteur par intérim de l'Université de l'Ontario français.
Normand Labrie, affirme que l'Université de l'Ontario français mise sur les forces de la région pour le développement de l'offre pédagogique de l'institution.PHOTO : Radio-Canada / Jonathan Bouchard
Y a pas deux matins pareils, Ici première
Y a pas deux matins pareilsPublié le 12 septembre 2018

Normand Labrie est le recteur par intérim de l'Université de l'Ontario français. Il croit que l'Université de l'Ontario français (UOF) a le vent dans les voiles. Cet établissement accueillera ses premiers étudiants en 2020. Selon lui, l'UOF se veut moderne et saura servir de modèle.

Avant sa participation au déjeuner d’affaires du Club canadien de Toronto, Normand Labrie a réitéré l’importance de l'établissement.

« L’Université de l’Ontario français sera un apport original à l’écosystème des universités en Ontario. Parce qu’on est créé au 21e siècle, on n’a pas les traditions anciennes des universités qui sont aux prises avec une histoire, un passé et des façons de faire difficiles à changer. »

— Une citation de  Normand Labrie, recteur par intérim, Université de l'Ontario français

Le recteur par intérim affirme que l'établissement sera un modèle pour la francophonie et la province.

Selon lui, l’Université de l’Ontario français ne sera pas une « université traditionnelle ». Il affirme que l'UOF veut éviter des créer des silos et offrira des programmes axés sur des enjeux actuels et le travail collaboratif.