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Une élection se gagne-t-elle en faisant du porte-à-porte ?

Une femme habillée en veston tend la main à un homme pour une poignée de main
Philippe Garneau croit que le porte-à-porte doit être combiné à d'autres stratégies de campagne. PHOTO : iStock
Publié le 12 septembre 2019

Pendant toute la campagne électorale, les images des candidats des différents partis fédéraux peuvent être vues sur tous les écrans. À l'ère des médias sociaux, nul doute que les différents partis vont y être présents. Malgré l'omniprésence du numérique dans nos vies, rencontrer les candidats en personne n'est pas à négliger puisque le contact humain est difficilement oubliable.

La bonne vieille poignée de main a encore la cote auprès des électeurs? Selon Philippe Garneau, Président GWP Brand Engineering, la réponse est oui.

Il explique que cela ne doit pas être fait n’importe comment et surtout que le porte-à-porte devra être un supplément aux médias sociaux puisqu’après la rencontre en personne, c’est en ligne que la discussion se poursuivra.

« La décision de faire du porte-à-porte doit être une décision stratégique de communauté en communauté, mais ce n’est pas une décision qui va marcher un peu partout. »

— Une citation de  Philippe Garneau, Président GWP Brand Engineering

Philippe Garneau croit que d’autres stratégies fonctionnent mieux que le porte-à-porte. Mais si on ne le fait pas [le porte-à-porte], on peut se faire accuser par les autres partis de ne pas en avoir fait, affirme-t-il.

Notre dossier Élections Canada 2019