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Début du contenu

Une femme pensive pousse un panier dans une épicerie en regardant des aliments dans un réfrigérateur.
De plus en plus de jeunes disent avoir de la difficulté à faire leur épicerie en raison de l'inflation, selon Maya Labrosse, présidente de la Fédération étudiante collégiale du Québec. PHOTO : getty images/istockphoto / MangoStar_Studio
Publié le 27 septembre 2022

Selon une étude de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), 34 % de la population étudiante considérait ne pas avoir assez d'argent pour subvenir à ses besoins en 2021. « Si en 2021 ce n'était pas assez, imaginez en 2022 avec l'inflation », souligne Maya Labrosse, présidente de la FECQ. Le phénomène de la précarité alimentaire inquiète les associations étudiantes. Elles sont d'ailleurs de plus en plus nombreuses à mettre de l'avant des initiatives pour aider leurs membres à se nourrir.

Maya Labrosse soutient que les étudiantes et les étudiants travaillent plus d'heures par semaine tout en s’inscrivant à moins de cours afin d’arriver à joindre les deux bouts. Ces compromis ne sont pas sans conséquence sur leur parcours scolaire, raison pour laquelle elle fait valoir que l’aide financière aux études doit être bonifiée graduellement pour atteindre la gratuité.

« Être aux études, c’est un luxe. »

— Une citation de  Maya Labrosse, présidente de la FECQ

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