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Entrevue avec Jocelyn Coulon : La place du Canada sur la scène internationale

Les dirigeants du G7 prennent la pose pour une photo de famille : sept hommes en complet se tiennent debout alignés en une même rangée devant des drapeaux.
«Nous sommes plus un observateur qu’un acteur», mentionne Jocelyn Coulon au sujet du rôle du Canada sur la scène internationale. PHOTO : pool/afp via getty images / MICHAEL KAPPELER
Tout un matin, ICI Première.
Tout un matinPublié le 1 juillet 2022

La semaine qui se termine était chargée en matière de politique internationale avec la tenue du sommet du Commonwealth au Rwanda, celui du G7 en Allemagne, puis celui de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) à Madrid. La ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, a par ailleurs annoncé lors de ce dernier sommet l'ouverture de quatre nouvelles ambassades canadiennes. À l'occasion de la fête du Canada, Maxime Coutié discute avec Jocelyn Coulon, chercheur au Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal, de la place qu'occupe le pays dans le monde.

Jocelyn Coulon mentionne que depuis 1945 et jusqu’au début des années 2000, le Canada était « une puissance moyenne » et avait une véritable empreinte sur la scène internationale. Le Canada était véritablement un incubateur d’idées, selon Jocelyn Coulon. Il cite en exemple la création des Casques bleus et la signature du traité d’Ottawa, entre autres.

Celui qui a été conseiller politique principal du ministre canadien des Affaires étrangères en 2016 et 2017 est d’avis que le Canada est devenu par la suite un observateur plutôt qu’un acteur de changement.

« Malheureusement, le Canada de Justin Trudeau n’est pas vraiment différent de celui de Stephen Harper sur la scène internationale. »

— Une citation de  Jocelyn Coulon, chercheur au Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal

Écoutez le segment pour entendre la suite de la réflexion de Jocelyn Coulon.