•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

REM de l’Est : Valérie Plante renvoie à son tour la balle à Québec et à CDPQ Infra

Gros plan de Valérie Plante.
La mairesse de Montréal, Valérie Plante.PHOTO : La Presse canadienne / Graham Hughes
Publié le 9 février 2022

Dans la foulée de la sortie d'un rapport dévastateur de l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) sur la pertinence du REM de l'Est, le premier ministre François Legault affirmait mardi que c'était à la mairesse de Montréal de « proposer un nouveau projet qui fait son affaire » si elle n'aime pas celui proposé par CDPQ Infra. Au micro de Tout un matin, Valérie Plante fait valoir que le gouvernement et le maître d'œuvre doivent plutôt entendre et accepter les critiques, puisque ce sont eux qui ont réellement le pouvoir d'agir.

La mairesse rappelle qu’un moyen de transport en commun structurant est nécessaire pour mieux desservir la population de l’est de Montréal. Elle ajoute que la version 2.0 du REM est « beaucoup plus complexe » que la précédente et que la forme que prendra le projet de train léger sur rail ne dépend pas de son appréciation personnelle.

Je me sens acculée au pied du mur par le gouvernement du Québec et CDPQ Infra, avoue Valérie Plante.

La mairesse croit néanmoins que le projet mérite d’être peaufiné, à condition de travailler de concert avec les experts du comité indépendant en place.

En ce sens, elle réitère son désir que soit mis sur pied un bureau de projet où le gouvernement du Québec, CDPQ Infra et des représentants de la Ville de Montréal seraient assis à une même table. À ce moment-ci, on nous dit non, déplore la cheffe de Projet Montréal.

Recommandé pour vous

Consultez notre Politique de confidentialité. (Nouvelle fenêtre)
Ces contenus pourraient vous intéresser