•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

La nouvelle loi sur le divorce pourrait inspirer les juges québécois pour les cas impliquant des parents non mariés.
Selon l'avocate en droit familial Sylvie Schirm, la pandémie met une pression sur de nombreux couples, et en particulier pour ceux qui ont des enfants. PHOTO : iStock
Publié le 15 janvier 2021

Alors qu'en Espagne les désunions ont connu une hausse de 17 % de l'automne 2019 à celui de 2020, avons-nous des raisons de croire que cette proportion pourrait être la même au Québec? « On n'a pas de statistiques, [...] mais dans le milieu du droit de la famille, on a remarqué une hausse de consultations. [...] Avec le confinement et les difficultés que la pandémie apporte à tout le monde, on a commencé à voir une augmentation des séparations de couples », constate Me Sylvie Schirm, avocate en droit familial au cabinet Schirm & Tremblay.

« Cette pandémie, surtout lors de la première vague, a remis en question les valeurs de bien des gens. »

— Une citation de  Me Sylvie Schirm, avocate en droit familial

En entrevue à Tout un matin, l’avocate explique également les conséquences qu’a eues la pandémie sur la pratique du droit familial.