Depuis l'annonce du ministre des Affaires intergouvernementales, Dominic LeBlanc, Air Transat reçoit des milliers de questions et commentaires sur la façon dont seront organisés les tests de dépistage de la COVID-19 pour revenir au Canada, selon le vice-président des ressources humaines et affaires publiques de l'entreprise, Christophe Hennebelle. Celui-ci affirme que la grande crainte des voyagistes est la mise en œuvre des tests pour leurs clients dans divers pays.
« On est en contact avec les autorités locales. On cherche évidemment les solutions pour mettre en œuvre ces tests, mais on a assez peur d’avoir des clients qui soient bloqués à destination; pas parce qu’ils sont positifs, mais parce qu’ils n’ont pas réussi à passer le test. »
À toutes les questions reçues, Christophe Hennebelle explique que les compagnies aériennes n’ont que très peu d’informations à donner.
On ne sait même pas quelle est la date de mise en œuvre avec certitude. On a très peu de détails
, dit-il.
Il soutient par ailleurs qu’Air Transat ne fera pas d’achat de tests servant à détecter la COVID-19, assumant un rôle d’accompagnement de sa clientèle et non d’autorité médicale.