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Dans les entreprises montréalaises, 41 % des communications à l'interne se font en anglais

Le ministre en conférence de presse répond à une question.
Le ministre responsable de la Langue française, Simon Jolin-BarettePHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
Publié le 12 août 2020

L'Office québécois de la langue française trace un nouveau portrait de l'anglicisation du marché de l'emploi au Québec. Une statistique frappe l'imaginaire : près des deux tiers (63 %) des entreprises de la métropole exigent des candidats une connaissance de l'anglais avant de procéder à leur embauche. « C'est extrêmement préoccupant », affirme le ministre responsable de la Langue française, Simon Jolin-Barette, qui promet des mesures pour que « le français redevienne au cœur du marché du travail québécois ».

« Les Québécois ont le droit de travailler en français, et le gouvernement va donner un sérieux coup de barre là-dessus. Montréal est la plus grande ville francophone en Amérique du Nord et ça doit se refléter sur le marché du travail. »

— Une citation de  Simon Jolin-Barrette, ministre responsable de la Langue française

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