Le gouvernement canadien étudie la possibilité de considérer comme une infraction le contrôle coercitif pour mieux protéger les victimes de violence conjugale et agir plus efficacement contre celui-ci plutôt que d'attendre qu'une femme se retrouve dans une civière ou un cimetière, comme l'explique Catherine Ethier. « Il était temps en soda qu'on s'occupe du contrôle coercitif. »
« La violence conjugale, elle a plusieurs visages et ne s’exprime pas exclusivement par un œil au beurre noir ou un bras dans le plâtre, comme on voit souvent dans les vues. La violence est beaucoup plus insidieuse et loin d’être toujours physique. Elle est bien souvent psychologique, verbale, sociale, économique... »