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Début du contenu

Deux personnes se tiennent dans une salle dont les murs sont des miroirs. De très nombreuses ampoules suspendues émettent de la lumière et les reflets des personnes et des objets sont infinis.
Un aperçu de la salle de miroirs «Dancing Lights That Flew Up to the Universe»PHOTO : David Zwirner
Publié le 6 juillet 2022

Claudia Hébert s'est rendue à la Fondation Phi pour vivre l'exposition Un ballet de lumières envolé dans l'Univers (Dancing Lights That Flew up to the Universe en anglais), de l'artiste japonaise de renommée internationale Yayoi Kusama. L'entrée est gratuite, mais une réservation est requise, d'autant plus que les billets s'envolent très rapidement pour admirer le travail de l'artiste de 93 ans. Claudia Hébert nous parle de son expérience et des réflexions qui l'ont habitée lors de sa visite.

La chroniqueuse a eu un réel coup de cœur pour les fameuses chambres tapissées de miroirs dans lesquelles on entre seul pendant 45 secondes, top chrono.

« Vous vous perdez dans l’infini. C’est vraiment le clou du spectacle que d’entrer dans ces pièces. »

— Une citation de  Claudia Hébert

Elle décrit également les autres œuvres à observer durant l’exposition, des infiniment grandes aux infiniment petites.