Repenser l’âge et le vieillissement un an après le début de la pandémie
Publié le 27 février 2021
« Si on ne profite pas de cette crise pour changer nos attitudes, on aura raté une occasion, parce que ça veut dire que c'est notre futur soi qu'on va maltraiter », souligne Martine Lagacé, membre du Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal. Elle explique en quoi les bouleversements de la dernière année lui donnent de l'espoir et des craintes par rapport à notre perception des personnes aînées et à la façon dont on les traite.