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Une permanence pour le projet Rabaska pour prévenir les drames familiaux

Région Zéro 8
Rattrapage du mercredi 28 juillet 2021

Une permanence pour le projet Rabaska pour prévenir les drames familiaux

Une permanence pour le projet Rabaska

Une femme debout dans une chambre plongée dans la pénombre est au téléphone et regarde par la fenêtre.
Selon Statistique Canada, la violence familiale, qui comprend la violence conjugale, représente un crime violent sur quatre déclarés à la police. On estime que les taux de violence familiale augmenteront de 30 % en raison de la pandémie, au Canada et ailleurs dans le monde.PHOTO : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Région Zéro 8
Région zéro 8Publié le 28 juillet 2021

Rabaska, ce modèle mis sur pied en Abitibi-Témiscamingue pour prévenir les drames conjugaux, passe d'un statut de projet-pilote à une organisation permanente.

Depuis 2013, la formule développée est celle de mettre en commun de ressources de différents milieux, qu'ils soient de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), du Centre de santé et des milieux policiers.

Pour écouter l'entrevue complète, cliquez sur l'audiofil.

Les morts tragiques de plusieurs femmes ces derniers mois sont venues rappeler l'importance de la prévention et aussi du dépistage des comportements qui pouvaient mener à des drames, comme l'explique Anne-Renée Jacob, nouvelle directrice de Rabaska.

Il est arrivé des homicides au Québec où le rapport du coroner a démontré que ces homicides-là auraient pu être prévenus donc si les partenaires s'étaient parlé et c'est un petit peu cette volonté-là à l'époque en 2013, la Table de locale de concertation contre la violence conjugale et les agressions sexuelles dans la MRC d'Abitibi qui avait une volonté de travailler à trouver des solutions pour réduire ces risques et travailler en commun à cette problématique-là, dit-elle.