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BAnQ permet la libre utilisation de plus de 100 000 documents patrimoniaux

Alex Boissonneault porte une chemise grise et sourit.
Audio fil du mardi 14 mai 2019

BAnQ permet la libre utilisation de plus de 100 000 documents patrimoniaux

Documents patrimoniaux : Libre utilisation, entrevue Jean-Louis Roy(BAnQ)

Une photo en noir et blanc illustre une barque qu'un garçon pousse dans une rue inondée.
Crue printanière dans le village de Pointe-Gatineau, 1947. BAnQ Québec, fonds Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (E57, S44, SS1, PD01-25). Photographe non identifié.PHOTO : Courtoisie Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Alex Boissonneault porte une chemise grise et sourit.
Première heurePublié le 14 mai 2019

Si vous cherchez des photographies de certaines régions du Québec, des cartes ou encore des gravures, vous devriez aller faire un tour sur le portail numérique de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ). Plus de 100 000 documents patrimoniaux du domaine public ont été numérisés et sont disponibles.

« Si l’on veut que les images québécoises soient plus utilisées, il faut les rendre disponibles », souligne Jean-Louis Roy, président-directeur général de BAnQ.

Avant la mise en place de ce système, si vous vouliez utiliser une image patrimoniale, « il fallait demander une autorisation et justifier son utilisation », rappelle M. Roy, qui a constaté de fortes demandes.

Les 100 000 documents peuvent être utilisés pour diverses raisons. Il peut s’agir d’un conférencier qui veut illustrer une présentation, d’un journaliste qui souhaite enrichir un article, ou encore d’un artiste qui modifie une image pour l'intégrer dans l'une de ses créations.

Tous les documents sont libres de droits, car « il faut que les personnes qui nous ont donné ces images soient décédées depuis plus de 50 ans et que les ayants droit n’aient pas mis de restriction », souligne M. Roy.

Sous peu, ce ne sera plus seulement des images qui seront disponibles, mais « cela devrait toucher toutes sortes de productions », selon le PDG.