La ministre de la Santé Danielle McCann a confirmé que son gouvernement n'offrira pas, pour le moment, l'aide médicale à mourir aux personnes atteintes de problèmes de santé mentale, comme il s'y était engagé la semaine dernière. Une consultation publique sur cet enjeu de société se tiendra éventuellement. Une bonne nouvelle selon Georgia Vrakas, professeure agrégée au Département de psychoéducation à l'Université du Québec à Trois-Rivières, campus de Québec. Celle-ci est directement concernée par le débat puisqu'en plus d'étudier la santé mentale et la prévention du suicide dans le cadre de son travail, celle-ci se remet d'une dépression majeure qui l'affecte depuis 20 ans. Elle a accepté de nous partager son histoire.
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