Comment les archéologues peuvent-ils aider les communautés autochtones dans leurs démarches de recherches sur les sites des anciens pensionnats ? Quels genres de consultations sont faites avant d'entreprendre un chantier de fouilles ? Est-ce que l'archéologie peut contribuer à la réconciliation ?
Voilà des questions que l'on pose ce matin à Adrian Burke, qui est archéologue et professeur titulaire au département d'anthropologie de l'Université de Montréal, et également membre du groupe de travail de l'Association canadienne d'archéologie sur les sépultures non marquées.