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Photo prise le 5 juillet 1946 à la piscine Molitor à Paris d'une candidate à l'élection de la plus jolie baigneuse portant un bikini créé par Louis Réard
Photo prise le 5 juillet 1946 à la piscine Molitor à Paris d'une candidate à l'élection de la plus jolie baigneuse portant un bikini créé par Louis RéardPHOTO : AFP
Publié le 20 avril 2022

Bikini, trikini, burkini; le maillot de bain se décline en plusieurs formes et a porté différents noms au fil des époques et des modes. Tantôt pour couvrir le corps des femmes, tantôt pour le révéler, ce tissu à l'apparence banal est un objet politique qui mérite une réflexion sous l'angle féministe. C'est ce que propose l'ancienne styliste, aujourd'hui docteure en histoire, Audrey Millet, qui publie Les dessous du maillot, une autre histoire du corps.

« Le problème, ce n’est pas le corps des femmes, c’est le regard des autres [et la quête de la perfection]. »

— Une citation de  Audrey Millet

À lire : Les dessous du maillot, une autre histoire du corps, Audrey Millet, Les Pérégrines, 25 avril

Résumé de la maison d'édition : L’histoire du maillot de bain, c’est aussi une histoire du genre, du corps, de l’eau, de la sphère publique. Le vêtement de bain a transformé le bord de mer, les centres de thalassothérapie et les piscines en lieux d’émancipation des femmes. En contrepartie, le corps rendu public subit de nouvelles injonctions à une beauté normée. Ces exigences sont notamment imposées par la publicité, l’industrie… et une domination masculine renouvelée.

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