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Début du contenu

La banalité d’un tir, de Mali Navia : l’insoutenable poids d’une disparition

Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
Rattrapage du 13 avr. 2022 : Mali Navia, et Mission impossible

La banalité d’un tir, de Mali Navia : l’insoutenable poids d’une disparition

Le morceau choisi de Mali Navia : La banalité d’un tir

Elle sourit à la photographe.
L'autrice et journaliste Mali NaviaPHOTO : Julie Artacho
Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
Plus on est de fous, plus on lit!Publié le 13 avril 2022

« Inventer une fin à une histoire qui n'en avait pas m'a permis de clore quelque chose. » Mali Navia revient sur la tragique disparition de son père dans un premier roman, La banalité d'un tir. La journaliste, recherchiste et autrice utilise l'autofiction pour revisiter les lieux de son enfance, à cheval entre la Colombie et le Québec, quelque part dans la marge de la société.

« À ce jour, je ne veux plus savoir ce qui s’est passé, ça pourrait me traumatiser à nouveau. […] Le deuil de la disparition n’a pas de catharsis. On reste en état de choc très longtemps. »

— Une citation de  Mali Navia

À lire : La banalité d’un tir, Mali Navia, Leméac, 13 avril 2022

Résumé de la maison d'édition : Ana López, née d’une mère canadienne et d’un père colombien, grandit au Québec entre deux cultures, prise entre le Nord et le Sud. Elle tente de conjuguer ses identités trouées, acceptant mal ce qui la rend différente dans le regard des autres.

Son père, Alejandro, n’a jamais réussi à apprivoiser le Québec. Il y demeure pour ses deux filles, à qui il transmet malgré lui le fardeau de son exil. Puis, un jour, il retourne s’installer en Colombie. Et disparaît.