« Il faut ramener la poésie au centre de nos préoccupations. » C'est ce que répond Mustapha Fahmi à la question « de quoi le monde a-t-il besoin? ». Le professeur de littérature anglaise à l'Université du Québec à Chicoutimi se prononce sur l'actualité en empruntant par moments la sagesse des anciens, tels que Marc Antoine, Heidegger, Shakespeare et bien d'autres.
Son dernier livre se nomme La leçon de Rosalinde, publié aux éditions La Peuplade.
Résumé de l'éditeur : Qu’est-ce que la reconnaissance dans une société qui n’a à la bouche que le mot respect? Qu’est-ce que l’éducation lorsqu’on ne parle plus que de formation? Comment associer écologie et ontologie? Une personne se définit-elle par ce qu’elle est ou ce qu’elle désire être? Qu’est-ce que l’amour sans imagination?
Dans ce recueil de réflexions, Mustapha Fahmi interroge notre présence à la vie et notre devoir d’humains. On y croise, en amis, Nietzsche, Heidegger, Spinoza, Aristote, Badiou, T. S. Eliot, Cervantès, Dostoïevski ou Mozart, et puis Shakespeare, lumineux, flamboyant, commenté par l’auteur avec amour et profondeur.