•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

Là où je me terre, de Caroline Dawson : immigrer sans s’effacer

Portrait de l'auteure Caroline Dawson devant les rayonnages d'une bibliothèque.
Née au Chili, Caroline Dawson est arrivée au Canada comme réfugiée à l’âge de 7 ans et enseigne la sociologie au Cégep Édouard-Montpetit à Montréal.PHOTO : Catherine Aboumrad
Publié le 4 décembre 2020

La professeure de sociologie au Cégep Édouard-Montpetit Caroline Dawson publie un premier roman, Là où je me terre. L'ancienne finaliste du Prix du récit 2018 de Radio-Canada puise dans ses souvenirs d'enfance, dans sa « mémoire trouée et bringuebalante », pour nous raconter un récit très intime qui porte sur son immigration et son intégration au Québec dans les années 1980.

« Dans un récit, la vérité est plus grande quand on va du côté des émotions et des sentiments. »

— Une citation de  Caroline Dawson

Là où je me terre, Caroline Dawson, Remue Ménage, 17 novembre 2020

Résumé de l'éditeur : Valparaíso, décembre 1986, tremblement de terre entre les quatre murs d’une maison. Un homme et une femme annoncent à leurs enfants qu’il faut tout laisser derrière et fuir le Chili de Pinochet. C’est Noël, la petite Caroline a sept ans et elle aura la nausée durant tout le voyage. La fillette atterrit à Montréal.

En plus de la neige dehors, il y a le tapis rouge vin de l’hôtel Ramada qui accueille les personnes réfugiées en attente de papiers. Après le premier appartement à Montréal-Nord, la classe d’accueil de madame Thérèse qui lui apprend le français, les enfants qui se moquent de ses cheveux et de sa boîte à lunch, il y aura tout ce temps passé dans les banques où ses parents font des ménages.

Recommandé pour vous

Consultez notre Politique de confidentialité. (Nouvelle fenêtre)
Ces contenus pourraient vous intéresser