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L'inquiétant et réconfortant rêve africain, selon Blaise Ndala

Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
Audio fil du vendredi 12 octobre 2018

L'inquiétant et réconfortant rêve africain, selon Blaise Ndala

Je l'ai écrit, je vous le lis : Inédit de Blaise Ndala

L'auteur Blaise Ndala
Blaise Ndala revient d'un séjour à San Francisco.PHOTO : Radio-Canada / Louis-André Bertrand
Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
Plus on est de fous, plus on lit!Publié le 12 octobre 2018

Le Canada n'est pas l'endroit idéal pour réaliser ses rêves les plus fous ou les plus intimes, parce que les sociétés démocratiques fonctionnelles sont très prévisibles et stables, raconte le romancier d'Ottawa Blaise Ndala. Selon lui, les gens savent plus ou moins à quoi s'attendre de jour en jour. « Mais on est encore très loin de ça en Afrique, et c'est à la fois rassurant et inquiétant », explique-t-il. Il écrit actuellement son troisième roman, dont il nous lit en exclusivité un extrait.

Le premier roman de Blaise Ndala, J’irai danser sur la tombe de Senghor, paru en 2014 aux Éditions L’Interligne (Nouvelle fenêtre), sera adapté au cinéma par le réalisateur français Rachid Bouchareb (Le flic de Belleville). Son deuxième roman, Sans capote ni kalachnikov, a été publié en 2017 aux éditions Mémoire d'encrier (Nouvelle fenêtre).