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Le micro ouvert de Julie Artacho : la grossophobie

Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
Audio fil du vendredi 22 septembre 2017

Le micro ouvert de Julie Artacho : la grossophobie

Le micro ouvert de Julie Artacho, photographe : La grossophobie

Lunette noires sur le nez, Julie Artacho discute au micro du studio 18.
La photographe Julie Artacho présente un texte d'une éloquence rare sur la grossophobie.PHOTO : Radio-Canada / Christian Côté
Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première.
Plus on est de fous, plus on lit!Publié le 22 septembre 2017

« Il faudrait que tu acceptes que chaque personne ait une histoire avec son corps. Il faudrait donc que tu milites pour conscientiser et faire baisser les statistiques d'abus, de violences et d'agressions sexuelles qui mènent certaines personnes à transformer leurs corps en armures, parfois épaisses, parfois minces et parfois invisibles », dit la photographe Julie Artacho. Cette dernière mène un combat acharné contre la grossophobie et tous les préjugés qui y sont rattachés. Du même élan, elle propose, pendant son micro ouvert, le guide Respect et inclusion pour les nuls.

Extrait de son micro ouvert :

« Il faudrait que tu acceptes que les corps sur lesquels on s’est acharnés à coup de régimes puissent ne plus répondre à la perte de poids. La perte de poids, c’est complexe et multifactoriel. Rire, mépriser et discriminer les personnes obèses, c’est d’une paresse intellectuelle infinie. Critiquer le système et militer, ça, c’est un geste porteur de changement qui demande de l’empathie et de la finesse » - Julie Artacho

En complément:

La grossophobie : la discrimination basée sur le poids fait du tort, à Médium large
Le site web de Julie Artacho (Nouvelle fenêtre)