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Le vieil homme et la mer, un classique toujours aussi pertinent, selon Thomas Hellman

Assis, Ernest Hemingway sourit. Derière, on distingue un homme noir vêtu d'un chapeau.
Ernest Hemingway en 1954PHOTO : Getty Images / Hulton Archive
Publié le 9 juin 2020

« Ce livre parle d'espoir, de la noblesse humaine face à la difficulté, au doute et aux faiblesses. [...] C'est une leçon sur la résilience, et c'est un hommage à la vieillesse. » Thomas Hellman trouve que le moment est opportun pour plonger dans un grand classique de la littérature, Le vieil homme et la mer, d'Ernest Hemingway.

Écrit en 1951 et publié en 1952, Le vieil homme et la mer connaît un succès instantané. Il paraît tout d’abord dans le magazine Life et s’écoule à 5 millions d’exemplaires en deux jours. C’est également le dernier livre qu’Ersnest Hemingway publie de son vivant, et il lui vaut le prestigieux Pulitzer en 1953. L'écrivain remportera aussi le Nobel de la littérature en 1954.

Résumé du roman :

À Cuba, voilà quatre-vingt-quatre jours que le vieux Santiago rentre bredouille de la pêche, ses filets désespérément vides.

La chance l'a déserté depuis longtemps. À l'aube du quatre-vingt-cinquième jour, son jeune ami Manolin lui fournit deux belles sardines fraîches pour appâter le poisson, et lui souhaite bonne chance en le regardant s'éloigner à bord de son petit bateau.


Aujourd'hui, Santiago sent que la fortune lui revient. Et en effet, un poisson vient mordre à l'hameçon. C'est un marlin magnifique et gigantesque. Débute alors le plus âpre des duels.

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